Ds les sociétés avancées les activités de services représentent jusqu'au 2/3 du produit national, elles ont supplanté les industries ds le rôle de moteur de croissance. Parallèlement, le travail se tertiarise massivement : en 2002 la part de l'agriculture dans l'emploi est tombée à 4 %. De même, la part de l'industrie ne représente plus que 21.9 % en 2002. Les services, eux, passent à 74.2 % du total
Ds la théorie économique classique les services sont considérés comme improductif, on peut le voir chez Smith ou plus particulièrement chez Marx. Avec l'essor des services on passe en gros du critère quantitatif au critère qualitatif. La force cérébrale prend progressivement le pas sur la force physique.
Services : Bien économique immatériel répondant à une demande spécifique. Ils ne st pas stockables, leur production et leur consommation st donc nécessairement concomitantes. L'utilité d'un service ne dépend que de la manière dont il est rendu, et des circonstances dans lequel il est rendu.
On appelle prestation de service le fait de produire des services, les activités productrice de services st appelées ‘activité de service'.
Secteur tertiaire = Secteur des activités de services - activités de commerces et de transports
Société post-industrielle = société caractérisée par une tertiairisation de son économie.
Quelle place occupe les services dans une économie post industrielle ?
Tout d'abord nous verrons ce qu'est un service, puis la croissance du tertiaire depuis la 2nde guerre mondiale et enfin les conséquences et les limites de la tertiarisation.
[...] Par exemple : l'entretien et la surveillance des locaux, restauration du personnel, convoyage de fonds. Cela participe donc au phénomène de tertiairisation. Comment expliquer ce choix ? C'est un facteur de réduction des coûts de production : on fait appel à des entreprises spécialisées dans leur domaine, efficaces. On évite également des immobilisations en capital coûteuses. C'est un facteur également de flexibilité ; en effet, il est possible de reporter l'ajustement des effectifs à la conjoncture sur l'entreprise externe, ainsi le noyau "dur" de l'entreprise donneuse d'ordre est protégé. [...]
[...] Partie créative présente ds chaque service rendue est bcp plus imp que la partie répétitive. Hausse des salaires et du tps libre permet aux consommateurs de dépenser plus ds des besoins non matériels. Allongement de la durée de vie et progrès de la médecine accroissent la demande de soins On pourra donc parler d'une tertiarisation de l'économie du fait de la parcellisation des fonctions au sein de l'industrie, du dvp des technologies et du nivo de l'éducation III Quelles sont les conséquences et les limites de ce mouvement de tertiarisation ? [...]
[...] Quelle place occupe les services dans une économie post industrielle ? Tout d'abord nous verrons ce qu'est un service, puis la croissance du tertiaire depuis la 2nde guerre mondiale et enfin les conséquences et les limites de la tertiarisation. I qu'est-ce qu'un service ? Au niveau de l'industrie : 3 sortes de services Services primaires : W fournit par les facteurs de production dans tous les secteurs d'activités économiques. Services intermédiaires : activité constituant un complément indispensable a la production de biens et de services (stockage, financement, transport ) ts services liés a la commercialisation et à la distribution + services comptables et juridiques. [...]
[...] Avec l'essor des services on passe en gros du critère quantitatif au critère qualitatif. La force cérébrale prend progressivement le pas sur la force physique. Services : Bien économique immatériel répondant à une demande spécifique. Ils ne st pas stockables, leur production et leur consommation st donc nécessairement concomitantes. L'utilité d'un service ne dépend que de la manière dont il est rendu, et des circonstances dans lequel il est rendu. On appelle prestation de service le fait de produire des services, les activités productrice de services st appelées ‘activité de service'. [...]
[...] On peut donc en déduire que la croissance de la consommation de services depuis les années 50 a induit une production plus importante. C'est là que la relation de Fourastié intervient : Rappel : variation relative de l'emploi = variation relative de la production - variation relative de la productivité. On en déduit que lorsque la production d'un secteur augmente plus vite que celle de la productivité du travail de ce secteur alors l'emploi dans ce secteur augmente et inversement. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture