Bien public mondial, mondialisation, Bretton Woods, conflits d'intérêts, institutions internationales, ONU, World Wide Web
La notion de bien en elle-même se divise en deux catégories ; les « biens publics » et les « biens privés ». Les « biens publics » sont ceux que la collectivité peut a priori utiliser sans risque d'en priver qui que ce soit. Le « bien privé » lui, appartient à une personne définie, qui l'utilise en fonction de ses besoins personnels (ex : une voiture).
Néanmoins, le bien ne concerne pas exclusivement l'individu. Il peut donc être national, voire mondial. Aussi, la notion de bien public est très vaste, et elle-même divisée en deux catégories. On peut donc parler de :
- Non-rivalité quand l'utilisation du bien public par un individu ne prive aucun autre individu de ce même bien. (Ex : Respirer ne prive pas les autres d'air.)
- Non-exclusion quand le bien public, une fois produit, est à la disponibilité de tous.
Pour autant, un bien public peut aussi exclure une certaine partie de la société, par exemple si le prix demandé pour un bien (qui est le même pour tous, comme des légumes bios) se trouve trop cher pour une catégorie de personnePour un bien public, on parle donc d'exclusion et de rivalité, qui sont les deux grands domaines qui regroupent toutes sortes de biens. Ces deux domaines encerclent aussi les notions de « biens communs », de « biens de clubs », et de « bien public-impur ».
[...] Aussi, la notion de bien public est très vaste, et elle-même divisée en deux catégories. On peut donc parler de : -Non-rivalité quand l'utilisation du bien public par un individu ne prive aucun autre individu de ce même bien. (Ex : Respirer ne prive pas les autres d'air.) -Non-exclusion quand le bien public, une fois produit, est à la disponibilité de tous. Pour autant, un bien public peut aussi exclure une certaine partie de la société, par exemple si le prix demandé pour un bien (qui est le même pour tous, comme des légumes bios) se trouve trop cher pour une catégorie de personnePour un bien public, on parle donc d'exclusion et de rivalité, qui sont les deux grands domaines qui regroupent toutes sortes de biens. [...]
[...] La plus connue, et la mère de toutes autres institutions internationales est bien sur l'ONU. Créée en 1945, elle regroupe à quelques exceptions près tous les Etats du monde, et a pour but de faciliter la coopération dans le droit international, mais aussi d'assurer la sécurité internationale, le développement économique, le progrès social, les droits de l'homme dans le but final d'obtenir une paix mondiale. Par extension, et dans l'optique de gérer davantage de projets, d'autres institutions ont été créées comme l'OMS (organisation mondiale de la santé), ou encore la controversée OMC (organisation mondiale du commerce). [...]
[...] Les quatre composantes déterminantes de la gouvernance actuelle - l'entreprise, le marché, l'Etat national et la démocratie représentative - ne suffisent plus pour répondre aux besoins du 21ème siècle. L'humanité doit impérativement réaliser à temps un saut qualitatif pour atteindre un nouveau degré de conscience et de développement nécessaire à sa survie à long terme. Cela passe par une nouvelle vision de la gouvernance, capable de prendre en charge les relations entre les différents secteurs de l'activité, entre les acteurs sociaux, entre l'activité humaine et les écosystèmes. [...]
[...] Il est le fruit d'une entente, et ne peut être préservé que par cette même entente. Aussi, afin de réguler de contrôler dans le but d'assurer un tant soit peu la pérennité de ces biens, le recours à des institutions supranationales est nécessaire. Celles-ci ont pour but d'indiquer aux Etats comment gérer les biens publics mondiaux, tout en faisant attention de ne pas empiéter sur la souveraineté nationale de chaque Etat. C'est ici que repose toute la difficulté de la gouvernance mondiale ; gérer, sans pouvoir réellement gouverner. [...]
[...] Ainsi, bien que le problème de la couche d'ozone concerne directement le monde entier, aucune mesure concrète n'est prise. C'est d'ailleurs l'un des arguments favoris des détracteurs de la gouvernance mondiale et du récent concept de bien public mondial : le manque de concret, malgré tous les thèmes vastes que ceux-ci englobent. Mais quels sont ces concepts, ces principes auxquels se heurtent la gouvernance mondiale ? Tout d'abord, comme nous l'avons vu, nous avons à faire à un véritable dilemme du prisonnier. Enoncé en 1950 par Albert W. [...]
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