Exposé de gestion de ressources humaines sur la mondialisation. Qu'est-ce que la mondialisation ? Qu'est-ce que le taylorisme et quels sont ses principes ? La place du taylorisme dans la mondialisation.
[...] Ainsi, entre 1990 et 1998, le commerce international a explosé avec un accroissement rapide des flux de capitaux et en affectant directement le mode de vie des individus dans le monde. Cependant, ces hommes de tous les temps se son,t organisés en groupes afin de supposer une forme d'administration. Ce n'est qu'en 1903 avec TAYLOR qu'on assiste aux principes généraux applicables à toutes les formes d'organisation du travail en vue de d'augmenter la productivité, il introduit alors la notion de rationalisation du travail en créant des principes fondamentaux qui servent de base à cette approche. [...]
[...] Elle traduit le prolongement au-delà des frontières des pays des forces du marché qui ont opéré pendant des siècle à tous les niveaux d'activités économiques (marchés de village,industries urbaines ou centre financiers),elle vise à assurer la prospérité globale du monde prolongement de la prospérité maximale de Taylor . CONCLUSION (synthèse) En définitif, le taylorisme occupe une place dans le large mouvement de la mondialisation qui constitue le prolongement de l'ouverture des économies que l'on observe depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Par ces principes, le taylorisme délimite la tâche,le temps requis pour l'accomplissement de la méthode d'exécution la plus appropriée qui permet en fin de compte d'augmenter la production le salaire et la productivité. [...]
[...] La mondialisation est un mouvement d'internationalisation des économies et des sociétés induit par le développement des échanges dans le monde. On dit aussi > (de l'anglais globalization). La mondialisation traduit l'extension géographique des échanges, mais également l'extension du domaine de ces échanges : la mondialisation ne concerne plus seulement les marchandises, mais englobe les capitaux, la main d'œuvres les services, la propriété intellectuelle. La mondialisation est non seulement un facteur de contrainte pour les économies industrielle mais aussi une notion de l'accélération du temps et de l'annihilation de l'époque géographique. [...]
[...] Il part du principe que l'efficacité passe par la décomposition et l'optimisation de chaque tâche, voire de chaque geste. Son but premier est d'accroître la productivité dans les usines, pour cela il est nécessaire d'opérer fondée une double divisons du travail. D'une part ,une division verticale des tâches fondées sur la séparation entre la conception et l'exécution (la direction donne les consignes,les ouvriers doivent les appliquer).Le savoir des ouvriers devient la possession de la direction des entreprises .D'autres part,une division horizontale des tâches reposant sur la parcellisation des activités et la spécialisation des ouvriers attachés à leur poste fixe ainsi qu'à une opération élémentaire . [...]
[...] Et pour répondre à cette question, il fallait revoir de fond en comble, calepin, règle à calculer et chronomètre en main, l'organisation du travail. Il fallait réduire le travail en parcelles, revoir les processus et les outils, traquer jusque dans le moindre détail le geste et le déplacement inutile. Un nouveau pacte devait naître au terme de cette nouvelle organisation du travail : Travailleurs et employeurs travailleraient désormais ensemble, en étroite et intime coopération vers l'atteinte d'un objectif commun : La prospérité maximale, se traduiront pour les uns par des salaires plus élevés, pour les autres par des dividendes supérieurs. [...]
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