Peut-on concevoir une mondialisation plus équilibrée et plus équitablement partagée ? La mondialisation est un fait, aussi bien au niveau des entreprises qu'au niveau politique. Depuis la révolution industrielle, les échanges internationaux ont augmenté de façon considérable, parfois au détriment de certains pays et même continents. Pour régler les différends entre pays, plusieurs organes ont été créés. Quels sont leurs rôles, leurs missions et surtout leurs impacts ?
[...] Nous sommes en quête d'un processus de mondialisation ayant une forte dimension sociale fondée sur des valeurs universellement partagées et sur le respect des droits de l'homme et de sa dignité; une mondialisation qui soit juste, ouverte à tous, gouvernée démocratiquement, et qui offre une chance et des avantages concrets à tous les pays et à tous leurs habitants. Les orientations qu'il faudrait suivre sont les suivantes : - Une action centrée sur les personnes. Pour parvenir à une mondialisation plus juste, il faut répondre à ce à quoi elles aspirent toutes: le respect des droits de chacun, de son identité culturelle, de son autonomie; un travail décent; la capacité des communautés locales de se prendre en charge. L'égalité entre hommes et femmes est essentielle. - Un Etat démocratique et efficace. [...]
[...] Dans un tel cas, les pays sous-développés n'ont que peu de chances de s'en sortir. Les entreprises multinationales qui exploitent leurs employés sont d'ailleurs la principale cause de cet endettement. Les employés qui tentent de s'organiser en syndicats sont menacés d'une délocalisation de la production par les employeurs. Des projets tels que l'ALENA et la ZLEA sont de plus au cœur de l'exploitation de la main-d'œuvre. - Mais qui dit sous-développement dit inégalités sociales. Ces inégalités ne sont toutefois pas toujours reliées directement aux pays du tiers-monde. [...]
[...] Conséquences principales de la mondialisation La tertiarisation de l'économie nationale est un phénomène étroitement lié à la mondialisation. Cependant, elle n'en est pas la seule conséquence car l'impact de l'élargissement des marchés a également amené à la marginalisation des pays du Sud, à de profondes évolutions au sein des ensembles Nord/Sud et enfin à une interdépendance des marchés économiques. - Les milieux d'affaires sont loin de se faire du mauvais sang ou de se culpabiliser de quoi que ce soit. [...]
[...] Une mondialisation plus équilibrée est envisageable p.4 II. Conséquences principales de la mondialisation p.6 III. Les solutions possibles p CONCLUSION p.9 BIBLIOGRAPHIE p.10 INTRODUCTION L'attentat du 11 septembre 2001et plus récemment l'enlèvement pendant plus de 3 mois des journalistes français Georges Malbrunot et Christian Chesnos montrent le réel marasme et le conflit international qui subsistent entre les pays. Tous ces conflits à dimension mondiale et l'évolution préalable des échanges, sont incarnés par la mondialisation. La mondialisation est un processus historique qui est le fruit de l'innovation humaine et du progrès technique, elle évoque l'intégration croissante des économies dans le monde entier c'est à dire la libre circulation des capitaux, des marchandises et des hommes au niveau mondial. [...]
[...] L'OMC a traité 270 affaires en 2003, ce chiffre était celui des affaires que le GATT a eu à régler entre 1948 et 1995. L'ORD apparaît comme un système crédible par son utilisation par la plupart des membres de l'OMC. Il est important de souligner que désormais un Etat émergent, en développement a des chances de faire condamner une grande puissance économique. Chose qui était difficilement réalisable à l'époque du GATT. Avec le développement de l'OMC, on note une utilisation non négligeable du nouveaux système de résolution des litiges par et à l ‘encontre des PED. [...]
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