Exposé sur la mondialisation. Comment la définir ? Qu'a-t-elle de si désirable ?
[...] La mondialisation est une histoire qui ne commence pas à la fin du XXe siècle, mais à la fin du XIXe, vers 1880, et se fracasse sur la première guerre mondiale en 1914. Pendant l'entre deux guerres, le monde rejetait la mondialisation comme l'on et les pays ont fermé leur économie et adopté des mesures protectionnistes et un contrôle généralisé des capitaux. Cela a joué un rôle majeur dans les résultats profondément négatifs de cette époque (la progression du revenu par habitant est tombée à moins de pour la période 1913-1950). [...]
[...] Croissance La mondialisation joue également un rôle important ds la croissance des pays qui y participent. Au XXe siècle, la croissance économique a été sans précédent : le PIB mondial par habitant a presque quintuplé. Cependant, cette croissance n'a pas été régulière, l'expansion la plus vigoureuse ayant été enregistrée pendant la seconde moitié du siècle, période de forte progression des échanges accompagnée d'un mouvement de libération du commerce-- et en général un peu plus tard des flux financiers. Un refus de s'intégrer au processus de mondialisation et un repli sur soi ont des cqs négatives sur l'économie du pays et la croissance. [...]
[...] C'est le cas par ex, de Généreux qui défend ds une raison d'espérer l'idée que la mondialisation et la libéralisation des marchés ne sont pas dus qu'à des décisions politiques, et donc pas inévitables Certaines personnes pensent pouvoir mettre un terme à cette mondialisation et désirent le faire en raison des csq négatives qu'elle engendre comme le creusement des inégalités. On peut en effet se demander si la mondialisation est un processus que l'on peut arrêter mais on peut aussi se demander s'il est réaliste de vouloir y mettre fin. mais un processus désormais lancé. Pour beaucoup, la mondialisation est lancée est irréversible. Les csq positives de la mondialisation et certains comportements inévitables poussent à penser que le mouvement ne va pas s'arrêter, et mm ne devrait pas prendre fin. [...]
[...] Parfois ils ont agit ensemble, notamment par des accords ds le cadre du GATT, comme au début des années 80, lorsque le RU a aboli le contrôle des changes ou lorsque de nombreux pays asiatiques en voie de développement ont libéralisé leur législation régissant la commerce et les investissements. En somme la mondialisation n'a rien d'intrinsèquement inévitable. Les Etats peuvent l'accepter ou la refuser. Cependant, il apparaît aujourd'hui difficilement concevable ne ne pas y participer ; regardons où en sont ceux qui ont poursuivi cette logique ac le plus de ténacité : la Birmanie, Cuba, la Corée du nord, L'Iran, l'Irak et la Lybie en sont les meilleurs exemples, ils ont de grosses difficultés industrielles, subissent des pénuries insupportable voire des famines généralisées ! [...]
[...] La déréglementation est en général une composante importante de la mise en œuvre des principes du libéralisme économique. Les déréglementations ont eu lieu dès les années 1970 au Royaume-Uni (politiques économiques de Margaret Thatcher) et aux États-Unis (Ronald Reagan), puis se sont étendues aux autres pays développés à partir des années 1980. Les déréglementations ont commencé en France dès 1983 avec la déréglementation des marchés financiers (après l'échec du programme commun). Sous l'influence de la commission européenne, elles se sont accélérées à partir des années 2000 A l'opposé du libre-échange, il y a le protectionnisme : qui est une politique économique selon laquelle l'État ou un groupe d'États interviennent dans l'économie pour protéger leurs entreprises et aider leurs produits, par la mise en place de politiques d'achats publics, de normes, de barrières douanières, de subventions à l'exportation, etc. [...]
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