Le terme « mondialisation » décrit l'accroissement des mouvements de biens, de services, de main-d'œuvre, de technologie et de capital à l'échelle internationale. Bien que la mondialisation ne soit pas un nouveau phénomène, son rythme a augmenté grâce à la venue des nouvelles technologies, particulièrement dans le domaine des télécommunications.
Le processus d'extension des échanges économiques n'est pas nouveau, on le trouve déjà dans l'Antiquité. Il y a plus de 2000 ans, l'Empire Romain étendait ses échanges non seulement à tout le bassin méditerranéen, mais aussi vers l'intérieur de l'Afrique et le Nord de l'Europe.
La tendance à la mondialisation de l'économie est constatée depuis longtemps par les économistes. Au début du 20ème siècle et jusqu'en 1914 (période très libérale), on a déjà pu observer une très forte extension des échanges internationaux de biens et de capitaux. On a ensuite observé une certaine stagnation des échanges jusqu'aux années 60, puis un décollage rapide de ceux-ci à partir des années 70.
Les années 70 correspondent à l'apparition de difficultés économiques. C'est la fin des trente glorieuses, ces 3 décennies de croissance économique où la prospérité générale semblait enfin devenue possible. D'une part, le système monétaire découlant des accords de Bretton Woods avait atteint des limites qui révélaient ses contradictions. D'autre part les économies nationales s'essoufflaient, générant chômage et inflation. L'extension de la libéralisation des échanges de biens et de capitaux apparaissait comme indispensable pour permettre le retour de la croissance.
[...] Il conduit à ressentir de l'amour et de la fierté pour sa patrie. Il faut tout d'abord distinguer le patriotisme économique, qui consiste à protéger les entreprises nationales, du protectionnisme, qui consiste à protéger les produits nationaux. Mais les deux notions correspondent à une volonté de limiter la mondialisation et le fonctionnement normal du marché. C'est un comportement de consommateurs, des entreprises et des pouvoirs publics qui, dans un contexte de mondialisation de l'économie, cherchent à favoriser les biens et services produits dans leur pays. [...]
[...] Le logo fait australien est une certification enregistrée la marque déposée. Pour qualifier pour employer le logo fait australien officiel, les produits doivent être conformes au pays d'origine des dispositions de la Loi commerciale de pratiques. Des produits faits australiens doivent être sensiblement transformés en Australie, avec au moins 50% du coût de production étant encourue en Australie Les concessionnaires des produits faits australiens doivent avoir un accord de permis courant avec la campagne faite australienne limitée ; et accepter de respecter le recueil d'instructions de logo fait australien Le Logo fait en Australie marque déposée est un outil significatif de marketing. [...]
[...] Cette idée fut fortement promue par les milieux économiques et les grandes institutions financières internationales, la notion de libéralisation des échanges s'y retrouvant élargie à celle de privatisation et de marchandisation la plus large possible. Cette politique fut largement mise en œuvre par les gouvernements Thatcher et Reagan, et elle fut quasiment imposée aux pays en difficulté qui demandaient l'aide du FMI ou de la Banque Mondiale. Durant les années 80 et 90, pratiquement l'ensemble des pays de la planète dû à son tour s'y soumettre La mondialisation est un phénomène socio-économique qui n'est pas arrivé par hasard. [...]
[...] Il est basé sur le concept de la légitime défense économique. La création de pôles de compétitivité, les mesures en faveur de la recherche et de l'innovation,le développement de l'actionnariat, les plans visant à aider les créateurs d'entreprise s'inscrivent tous dans une logique de patriotisme économique, dans sa version offensive. L'objectif est de renforcer l'attractivité du territoire, et d'encourager à une reprise du contrôle des entreprises nationales par les concitoyens en prônant une diffusion plus massive de la propriété d'actions dans la population française. [...]
[...] Les partisans de la mondialisation et de la libéralisation des échanges insistent pour leur part sur les retombées bénéfiques, en termes d'efficience, de dynamisme et de bien-être économique que l'ouverture des marchés apporte aux citoyens, tant dans les pays riches que dans les pays pauvres. Cette agitation ne doit pas occulter une question clé : quelle est l'incidence de la mondialisation sur le marché du travail ? La libéralisation des échanges profite-elle aux travailleurs ? Quelle est l'incidence des échanges sur les salaires? Les économistes se sont souvent penchés sur la question, mais essentiellement sous l'angle des importations et de leurs effets sur les travailleurs des économies industrialisées. [...]
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