Zone politico-économique, Mercosur, Brésil, traité d'Assomption, sommet de Montevideo
- 26 mars 1991 : le trraité d'Assomption : création du Mercosur : marché commun et union douanière (libre circulation, tarif extérieur commun) entre l'Argentine, le Brésil, le Paraguay et l'Uruguay.
- 8 décembre 2005 : sommet de Montevideo : adhésion politique du Venezuela décidée sous réserve de convergence aux règles du Bloc.
- 4 juillet 2006 : le Venezuela d'Hugo Chavez devient membre associé.
- 24 novembre 2007 : l'adhésion comme membre à part entière du Venezuela est en train d'être approuvé par les Députés puis devra l'être par les Sénateurs brésiliens. Il est à noter que le processus d'adhésion n'est pas encore transmis au Paraguay.
[...] L'ANFAVEA reprendra les négociations en 2009. Les négociations Mercosur-Inde : Le secteur automobile reste en dehors des négociations car celui-ci est considéré comme sensible par l'Inde. Les négociations Mercosur-Pakistan : Les négociations n'avancent pas rapidement. Les négociations Mercosur-Israël : L'accord est en phase de finalisation (prévu pour début 2008) mais pas encore signé. Pour le secteur automobile, il est prévu dans les négociations que : - Du Mercosur vers Israël : dans 4 ans, ce sera le libre-échange. - D'Israël vers le Mercosur : il n'y aura pas d'exemption de taxes. [...]
[...] Libre-échange Argentine-Brésil reporté à mi-2008. L'ANFAVEA (Association Nationale des Fabricants de Véhicules à moteur du Brésil) pense qu'il y aura une nouvelle prorogation de 5 ans à partir de mi-2008 de l'accorde de libre-échange entre l'Argentine et le Brésil. Actuellement, le système Flex prévaut à 1,95. Le Flex réel accumulé à novembre 2007 est de 1,49. L'Accord de libre-échange avec le Mexique : Entre l'Argentine et le Mexique, il est en vigueur depuis le 1er Janvier 2006 (mais il manque encore incorporer liste pièces demandées par les constructeurs) A CONFIRMER AVEC L'ARGENTINE ( ! [...]
[...] L'industrie automobile brésilienne est en train de réaliser la meilleure année de son histoire. Le crédit facile et abordable, allié à la stabilité économique, font que les brésiliens consomment plus quelque soient leurs niveaux de vie. - La situation économique du pays reste à l'équilibre, avec une faible inflation, des taux d'intérêts déclinant, une monnaie (Real) qui s'apprécie, un bon niveau de réserves internationales qui protègent le pays contre les turbulences externes. Le salaire minimum augmente, tout comme les programmes sociaux. [...]
[...] Malgré ce cadre économique positif, le Gouvernement rencontre encore des difficultés politiques avec les scandales de corruption éclaboussant la base de ses membres, ce qui entraîne des changements de ministres et leaders du pouvoir législatif. Le Président reste insensible à se type d'événement. Pour la première fois depuis la divulgation du premier rapport sur l'Indice de Développement Humain il y a 30 ans, le Brésil a atteint une valeur de 0,800 ; ce qui place le pays dans la catégorie de haut développement humain. [...]
[...] Dans l'année, le risque pays du Brésil a baissé de quasiment 19%). - Augmentation des exportations amenant d'importants excédents commerciaux 46,1 milliards en 2006). - Augmentation significative des réserves du pays 85,8 milliards à la fin de 2006). - Création et amplification des programmes sociaux principalement la bourse familiale et zéro famine avec une réduction du niveau de la pauvreté. - Politique internationale plus focalisée sur l'augmentation des relations commerciales avec les pays en développement et centré sur le Mercosur mais le Brésil commence à perdre de l'espace face à Hugo Chavez du Venezuela et à cause des problèmes rencontrés avec Evo Morales concernant l'exploration du gaz en Bolivie. [...]
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