En México, la mayoría de los campesinos y de los indígenas se llaman a si mismos los “hijos del maíz”, es decir la importancia de este cultivo para estos pueblos que se consideran metafóricamente como consubstanciales del maíz. Hace algunos meses, miles de campesinos asaltaron las calles de México y desfilaron para expresar su desacuerdo con el Tratado de Libre Comercio de América del Norte. En efecto, con la entrada libre de cereales estadounidenses, los agricultores mexicanos no se sienten bastante protegidos y temen la quiebra o la hambruna. Así desvalidos, se levantan para reafirmar sus derechos y sobretodo su cultura. Es lo que vamos a analizar ahora.
[...] Des élections démocratiques sont organisées, les militaires sont conspués, la gauche révolutionnaire voit ses organisations de masses légalisées et ses militants prisonniers sont tous libérés. L'extrême-gauche gagne des espaces de pouvoir au sein de l'Etat (Université . On croit que les militaires ne reviendront pas. Jamais alors le climat politique n'avait été aussi propice à la gauche en Argentine. Après le retour du général Peron en 1973, qui se solde par le massacre d'Ezeiza (affrontements entre la gauche et la droite péroniste), le pays s'enfonce dans une guerre sale qui commence dès l'Opération Indépendance dans la province de Tucuman. [...]
[...] En 1966 a lieu le coup d'Etat du général Ongania. Ce dernier, partisan de la manière forte, va mettre en place un régime bureaucratique et autoritaire. En réaction à la violence, les mouvements sociaux, les syndicats, les étudiants, les ouvriers vont se battre contre le régime jusqu'à prendre conscience de sa faiblesse. La situation s'aggrave jusqu'à l'année 1969, quand éclate le Cordobazo (un explosion de violence spontanée durant laquelle les ouvriers et les étudiants seront les principaux protagonistes). C'est la première pueblada (il y en aura bien d'autres dans tout le pays) : la population s'attaque aux symboles du pouvoir autoritaire (police . [...]
[...] Perón parvint au pouvoir après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Celle- ci ayant entraîné l'affaiblissement de l'Occident, l'Argentine devient, vers 1950, la neuvième puissance économique mondiale.[2] Après la guerre, de très nombreux nazis fuirent en Argentine. Le péronisme est un mouvement national-populaire ; il encadre la population argentine (syndicats, femmes, jeunes, ouvriers . ) en leur octroyant des droits et un statut. Le partage des richesses est désormais moins déséquilibré et la classe ouvrière argentine, qui ne s'est jamais tournée vers le marxisme ou le communisme, s'identifie au mouvement péroniste. [...]
[...] Au commandement d'une armée d'environ soldats, San Martin réalise une campagne prodigieuse. Il traverse la cordillère des Andes et inflige des défaites cruciales à l'armée espagnole d'abord à la Cuesta de Chacabuco et puis (avec des troupes chiliennes de Bernardo O'Higgins) à Maipu, près de Santiago, où les Argentins détruisent définitivement l'armée royaliste stationnée au Chili. La constitution sera proclamée en 1853, après la fin de la dictature de Juan Manuel de Rosas. Dictatures du XXe siècle [modifier] Juan Perón (avec écharpe) et sa femme, Eva Duarte de Perón. [...]
[...] À cette occasion, les leçons apprises lors de la bataille d'Alger sont mises en pratique[3]. En mars 1976, un coup d'État dirigé par une junte de militaires (Jorge Videla, etc.) renverse la troisième femme de Péron, Isabelle Peron. On estime que la guerre sale a fait environ victimes, dans la majorité des disparus, sans compter les milliers d'exilés. Buenos Aires participe en outre à l'opération Condor, et de nombreux réfugiés politiques de pays voisins sont assassinés par le biais des services secrets ou d'escadrons de la mort (la Triple A). [...]
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