libre échange, protectionnisme, Union Européenne, quotas, barrières
La mondialisation a permis une libéralisation des échanges entre les nations. Des consommateurs d'une région peuvent parfois acheter des produits fabriqués dans des pays situés à l'autre bout de la terre. Cela a considérablement aidé le libre-échange à devenir la meilleure politique commerciale possible. Malgré les gains à l'échange mondial, les pays maintiennent sous des formes variées un certain degré de protectionnisme.
Les théories traditionnelles conduisent à préconiser le libre-échange, alors que de nouvelles théories considèrent, dans une situation précise, que le protectionnisme est souhaitable. En effet, Barbara Spencer et James Brander de l'Université de British Columbia (Canada), apportent de nouvelles justifications aux actions de politique commerciale, ils démontrent qu'un gouvernement peut intervenir avec une certaine efficacité. C'est le cas des subventions dans l'aéronautique de l'Union Européenne.
Le libre-échange peut avoir trois sens différents. Il peut être une situation dans laquelle il n'y a pas d'obstacle à la libre circulation, entre les pays, des biens et des services y compris des capitaux. Il est aussi une politique des échanges extérieurs qui instaure la libre circulation des marchandises, des capitaux et des personnes entre les pays. C'est-à-dire qu'il n'y a pas de droit de douane ni de contingentement ou ni de réglementation. Enfin, il est aussi une théorie, selon laquelle deux pays sont dans une situation plus avantageuse dès lors qu'ils ouvrent leurs frontières aux échanges internationaux. Cette théorie préconise la spécialisation des pays participant au libre-échange.
[...] Il s'agit d'une société avec une économie basée sur le troc, composée par des agglomérations rurales isolées et autarciques, où le monopole fiscal et de la force est dans les mains d´un seigneur féodal.Cela induit une faible chaîne de dépendance, et génère une menace de violence constante, car il n'est nul besoin de refouler ses passions. Au fur et à mesure, les monopoles privés que sont les petites seigneureries passent aux mains de couches sociales plus larges, un seigneur central se dégage: il est investi d'un statut de fonctionnaire parmi d'autres dans un réseau d'interdépendances, le détenteur du monopole étant dépendant d'autres fonctions de la société. Au XV-XVIè siècles, le mouvement s'accélère, et l'on assiste à la curialisation des guerriers. La curialisation , c'est l'extension des pratiques de la cour à l'ensemble de la société. [...]
[...] Maintenant le royaume est un puissant agglomérat de terri, sous l´aspect d´un domaine familial dont les différentes parties sont liées par la personne du propriétaire central. L´union de terri si différent est possible par la figure du roi (Pr charismatique et traditionnel), qui cô une adm centrale. Après l´union sera possible par les interdépendances nées de la division du travail social. La différenciation des fonctions sociales : passage d´une société à l´éco de troc à un soc´avec une forte division du travail. II/La nécessité d´une administration centralisée : la monarchie absolue. [...]
[...] Les guerriers et les nobles voient donc leur pouvoir d'achat (donc de représentation) décliner ; la solution qui s'impose est l'installation dans les cours aux XVIè et XVIIè siècles. La France assiste ainsi à la division croissante des fonctions sociales produite par le développement des villes et de nouvelles couches sociales spécialisés dans le commerce. On passe ainsi à une société avec une économie basée sur des échanges monétaires, composée par des villes, où le monopole est assuré par un organe centralisé de régulation et de coordination (embryon de l´État moderne). [...]
[...] La nature et la puissance des poussées civilisatrices de ce genre sont déterminées par l'étendue des interdépendances, le niveau de la division des fonctions et la structure des fonctions dans le cadre de cette division. La chaîne des interdépendances entre individus s´est renforcée considérablement, jusqu´à devenir la base du nouvel ordre social. II La royauté absolutiste: un chef capable de coordonner et de contrôler les tensions des structures sociales Dans une société aux fonctions peu différenciées, les interdépendances sont moins importantes et les rapports entre indivis sont extrêmes, voire négatifs. Dans les sociétés aux fonctions divisées, les rapports entre indivs doivent être pacifiques parce qu´ils sont liés par un résau d´interdépendances. [...]
[...] La division croissante des fonctions sociales comme origine de l´absolutisme. Le grand monopole centralisé ( ) devient l´organe central de cette unité sociale que nous appelons aujourd´hui l´État. L´administration du monopole est l´organe suprême de coordination et de régulation pour l´ensemble de processus issus de la division des fonctions. Chaine de dépendances: L´interdépendance fonctionnelle entre les individus et groupes d´individus, en concurrence (violente ou pacifique selon le degré de division des fonctions), au sein d´une société. (Sorte de lien social). [...]
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