Afin de mesurer l'importance des ressources naturelles au niveau de l'économie d'un pays comme le Brésil, il faut tout d'abord définir la notion des ressources naturelles. Celle-ci permet d'englober les biens, les substances ou les objets présents dans la nature et dont les propriétés sont exploitées dans le but de satisfaire les besoins d'une société humaine ou autre espèce vivante.
La question des ressources naturelles induit directement celle de l'exploitation qu'en a faite l'homme et donc à son rapport avec le développement économique d'un État. Le Brésil est un exemple parfait, car c'est un État relativement jeune et surtout doté d'immenses ressources naturelles. Effectivement, sachant que ces dernières sont à la base de l'économie, les avoir en sa possession favorise grandement son développement.
En effet, l'agriculture brésilienne occupe une importance mondiale, de nouvelles espèces et de nombreuses surfaces cultivables voient le jour. Le Brésil offre d'immenses ressources minières et fossiles que des chercheurs découvrent encore de nos jours. La richesse du pays correspond également à sa biodiversité qui permet l'exploitation du bois, l'utilisation de l'eau à grande échelle, et offre aux touristes des panoramas variés. Cette richesse est inscrite sur son drapeau : le rectangle vert représente les forêts et les champs fertiles, le losange jaune correspond à sa richesse en or et le cercle bleu quant à lui représente le ciel bleu-marine que l'on retrouve dans ces régions tropicales, mais aussi à l'eau très présente au Brésil.
Nous allons donc étudier tout au long du dossier le degré d'impact de ces différentes ressources naturelles sur l'économie florissante du Brésil moderne.
[...] Cette croissance liée à la flambée des cours du pétrole a permis le développement de nouveaux véhicules dotés de la technologie flex-fuel qui peut utiliser de l'essence ou de l'éthanol. En 2008, la moitié du parc automobile du Brésil fonctionne avec ce biocarburant à base de canne à sucre. Le bilan énergétique de l'éthanol brésilien est assez bon, car les usines de transformations sont autonomes en énergie grâce à la bagasse 2.1 de canne à sucre fournissant suffisamment de combustible pour leur fonctionnement. [...]
[...] Il produit respectivement 90% et 25% de l'énergie électrique consommée par ces deux pays La diversité environnementale et culturelle[9] La population brésilienne est le fruit d'une mixité des origines, un genre de melting-pot qui a amené sur son sillage une grande diversité culturelle. Cela caractérise l'ambiance chaleureuse du pays autour d'importants rassemblements comme le carnaval ou les matchs de foot et de volley. La musique qui en émane est également fortement liée à cette mixité et diversité de la population. De plus, le Brésil possède aussi des paysages luxuriants, une diversité animale et florale intense, et son climat est très varié. [...]
[...] C'est aussi le troisième producteur de poulets avec 5.9 millions de tonnes. La production de produits de la pêche atteint 732 mille tonnes La filière des biocarburants[2] Le Brésil a également fortement développé la filière de l'éthanol, biocarburant dont il est, avec 154 millions d'hectolitres par an, le premier producteur mondial. Cet éthanol est produit à partir de la canne à sucre déjà vidée du sucre lié à la consommation. Ce qui permet grâce à des rendements élevés un coût de production bas, de l'ordre de 0.17 euros le litre. [...]
[...] Il est le premier exportateur mondial de minerai de fer et ce produit est réputé par son excellente qualité ce qui facilite l'exportation. Sa production d'environ 215 millions de tonnes représentait en 2003 prés de 20% de la production mondiale Les précieux et semi-précieux[4] L'Amazone fait l'objet d'une véritable ruée vers l'or depuis 1979 qui a fait du pays l'un des tout premiers producteurs aurifères du monde en croissance alors que les géants comme l'Afrique du Sud ou les États-Unis voient leur production d'or fortement ralentir. [...]
[...] Lula da Silva, le président brésilien, à plusieurs fois déclaré : Je préfère croître pendant quinze ans à régulièrement, pour que l'on puisse récupérer la capacité de production du pays sans risquer d'asphyxier la capacité de nos industries. La croissance doit être équilibrée, ni trop ni trop peu Le PIB a progressé de en 2007, contre en 2006. Et même si le pays devait connaître un faible repli de son PIB, ce dernier devrait tout de même dépasser les cette année. [...]
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