La mondialisation n'est pas un phénomène nouveau et la France doit trouver sa place dans cet environnement international. La mondialisation a des effets positifs sur l'économie mondiale mais également des effets négatifs, comme la bulle économique des années 2000. La mondialisation a en effet renforcé la concurrence entre les nations et la France doit démontrer sa compétitivité, et donc celle de ses entreprises par la même occasion.
[...] On résume souvent les raisons de cette bulle à la survaleur des entreprises de la nouvelle économie, c'est-à-dire des entreprises d'Internet, celles que l'on appelle les .com Mais cette raison n'est en fait qu'un élément de la bulle économique, et on peut en effet citer d'autres facteurs prévisibles qui ont permis la constitution de celle-ci. Cette bulle a entraîné une stagnation de l'économie mondiale, voir une récession dans les pays occidentaux. De plus, cela a permis de voir se dessiner un nouveau visage de l'économie mondiale avec l'émergence des pays du Sud. Comment peut-on expliquer l'apparition de la bulle économique des années 2000 ? [...]
[...] Avec l'augmentation et le vieillissement de la population, les gains de productivité doivent réduire les inégalités, mais également maintenir le niveau de vie des retraités. Un système de retraite adéquate doit être mis en place pour faire face à la baisse du nombre d'actifs par rapport à celui des inactifs. Le système par capitalisation paraît plus approprié que celui par répartition. L'épargne accumulée par la population pourra permettre aux entreprises d'investir, en matériel et capital humain, nécessaires à la production et donc de prendre en compte l'avenir Des emplois possibles Notre économie poursuit son évolution, mais le progrès social ne suit pas celle-ci. [...]
[...] La France doit se tourner vers les industries de pointe, et donc attirer les entreprises dans ces secteurs ; mais aussi tendre vers une industrie plus civilisée en améliorant la qualité des produits. Du fait de ces éléments, de nouveaux emplois vont émerger, plus qualifiés, ce qui va justifier le prix du travail élevé. Il faut donc en arriver au zéro défaut social soit consolider nos infrastructures sociales pour pouvoir conserver notre richesse et éviter toute régression Le débat obligé De nos jours, il faut non seulement définir un cap, mais aussi le tenir. [...]
[...] Ils échangeront donc ce dont ils disposent en grande quantité, c'est-à-dire une main- d'œuvre non qualifié à bas salaire, contre du travail qualifié. Ce nouveau type d'échange permettra à certains d'y gagner mais pas à d'autres. Pour rétablir la situation et permettre une amélioration du niveau de vie pour tous, ces gains devront être redistribués. L'élargissement des échanges devrait offrir la possibilité d'une croissance plus importante. Mais la croissance ne résulte pas que des progrès de l'offre mais aussi de la demande. Il faut donc développer les crédits entre les nations pour faciliter les financements du commerce international. [...]
[...] Au-delà des coûts en eux-mêmes, c'est le rapport avantages/coûts qui va être un facteur dans la mobilité des entreprises et des capitaux. La mondialisation met aussi d'autres éléments en jeu dans la compétitivité entre les nations, comme les systèmes sociaux. Mais d'un autre côté, la mondialisation dégrade la solidarité entre les pays et les entreprises Le chemin parcouru 1. Des illusions perdues Comme de nombreux pays européens, la France ne s'est pas montré très active face à la mondialisation, se reposant sur la confiance en sa puissance passée. [...]
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