Dollar, Communauté Economique Européenne, Traité de Maastricht, Pacte de stabilité et de croissance, inflation
Lorsque l'Euro a été introduit, en 1999, il est alors présenté comme le garant d'une plus grande stabilité et d'une prospérité accrue pour le vieux continent :
L'euro apparait aujourd'hui comme la deuxième monnaie la plus utilisée au plan international, derrière le dollar.
Compte tenu de l'importance économique de la zone euro, la monnaie unique a des conséquences majeures, non seulement pour les États membres qui y participent, mais aussi pour d'autres pays.
Mais Aujourd'hui, l'enthousiasme qui a suivi le passage à la monnaie unique a fait place à la crainte, à cause de la forte hausse qu'elle a connu ces derniers temps face au dollar.
Alors faut-il craindre un euro fort ?
[...] Par définition, les entreprises concernées sont celles qui ont des clients horszone euro, les plus grandes firmes par exemple entretient de Sarah Guillou pour l'Expansion le 20/9/2007 Pour ceux qui sont en vacances à New York, ils peuvent aller dans un hôtel un peu plus étoilé. Pour ceux qui passent, chaque jour, à la pompe : l'euro fort atténue la hausse du prix du pétrole. Pour ceux enfin qui achètent des produits fabriqués dans des pays à monnaie faible, ils bénéficient de prix en baisse Les échos, Analyse d'Érik Izraelewicz le 19/12/2007 L'Iran, le Venezuela, l'Indonésie [ ] et certains pays asiatiques comme la Chine ont décidé de convertir une partie de leurs réserves de dollars en euros. [...]
[...] Un euro durablement fort serait défavorable à la compétitivité de la zone euro et s'ajouterait aux vents contraires que l'économie européenne affronte, mais aussi au ralentissement de la croissance mondiale et les prix du pétrole toujours élevés renchérissent Howard Arnauld On le voit facilement alors que les avis divergent sur le sujet, certains se veulent optimistes alors que d'autres ont une vision plus pessimiste de la question. Mais en définitive ils veulent tous un niveau de change modéré de l'euro sur le long terme. [...]
[...] Selon Bernard Arnauld, le président du groupe LVMH, la firme devrait doubler ses ventes pour atteindre un chiffre d'affaires de 300 milliards de dollars. Par ailleurs le leader européen PPR annonce quant à lui une hausse de de l'activité de sa division de luxe. Le tourisme des Européens : les touristes français voyageant à l'étranger verront leur pouvoir d'achat augmenter considérablement. Car un touriste décidant, par exemple de prendre un café sur une terrasse américaine dont la facture s'élève à 17 $ ne lui coûtera en réalité que 11 euros. [...]
[...] En effet la force de l'euro, signifie aussi la faiblesse du yuan ou encore celle du yen par exemple. Ce qui fait que les entreprises de ces zones monétaires bénéficieront d'une dépréciation de leur monnaie qui leur sera favorable pour rentrer sur les marchés de la zone euro et d'avoir plus de facilités à s'approprier des parts de marché au détriment des entreprises locales. -Son impact sur l'économie mondiale La création de l'euro a permis au système monétaire et financier d'avoir une monnaie de transaction alternative au dollar plus concurrentielle que le yen ou le deutsche mark. [...]
[...] Cependant la méthode la plus utilisée est : La méthode BEER (qui utilise les taux de change d'équilibre comportemental), les facteurs déterminants qui interviennent dans cette méthode de calcul sont : le solde des investissements étrangers dans le pays et les investissements de ce dernier dans les autres pays. L'efficacité économique, c'est-à-dire la productivité relative. Le rapport entre les prix à l'exportation et ceux de l'importation. Ce qui a été cité ci-dessus permet de connaître la valeur réelle d'une seule monnaie, mais pour évaluer le taux de change entre deux monnaies, il faut en plus des paramètres ci-dessus rajouter les facteurs suivants : Les écarts des loyers de l'argent entre les pays concernés. Le solde des entrées et sorties des capitaux. [...]
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