Les États-Unis sont le symbole de la société de consommation, les ménages s'équipent, consomment et de ce fait font tourner l'économie américaine. La consommation finale des ménages représentent plus des trois-quarts du produit intérieur brut du pays. Nous pouvons remarquer que durant la crise de la bulle internet en 2001, la consommation finale des ménages a permis aux États-Unis de ne pas plonger dans un sérieux marasme. Le taux de croissance recule, toutes les contributions à la croissance le tire à la baisse sauf la consommation finale des ménages qui participe en 2001 à environ 172% à la formation du produit intérieur brut. Suite à la crise des subprimes en 2007, la tendance n'est pas la même, les ménages américains ont diminué leurs dépenses de consommation.
[...] Les flux migratoires ont joué un rôle important dans le développement du pays. Actuellement, les estimations ont montré qu'environ 59% des habitants actuels des USA sont d'origines immigrées, ce taux élevé est historiquement explicable. Les inégalités Étant donné les disparités ethniques et culturelles, le mélange entre les populations aurait été difficile et ne s'est jamais vraiment mis en place. Le melting pot n'a pas pris, malgré la standardisation du mode de vie et la consommation de masse encore plus développée dans ce pays que dans les pays Européens. [...]
[...] La grande part de la formation brute de capital fixe dans la croissance. La formation brute de capital fixe (FBCF) qui correspond aux investissements des entreprises ainsi qu'aux investissements immobiliers des ménages est le deuxième élément contribuant à la croissance américaine. Comme nous pouvons le voir sur ce graphique, l'investissement des États- Unis est, pour la plupart des périodes, supérieur à la zone euro, ainsi que l'ensemble des pays de l'OCDE. Le taux moyen d'investissement sur le long terme (1993-2008) est de 21,26% du produit intérieur brut. [...]
[...] Ceux qui s'assurent directement : Pour les Américains qui ne bénéficient pas d'assurance grâce à leur entreprise, ils peuvent s'assurer de manière individuelle, mais c'est très cher ! Ceux qui ne sont pas du tout couverts (plus de : Cela concerne la population qui n'est pas assez pauvre pour être couverte par Medicaid et pas assez riche pour souscrire à une assurance individuelle. Ils doivent payer eux-mêmes leurs prestations. Pour obtenir la meilleure assurance sociale, il faut donc compter sur le plein emploi. [...]
[...] Les États-Unis sont en déficit. Ce déficit est de deux natures. D'une part, on parle de déficit commercial qui est lié au fait que les États-Unis importent plus que ce qu'ils exportent, notamment avec la Chine du déficit commercial provient des échanges avec la Chine. En 2005, les importations en provenance de Chine ont représenté 162.9 milliards de dollars alors que les exportations étaient de 48.7 milliards de dollars (toujours vers la Chine), soit un déficit commercial de 114.2 milliards de dollars. [...]
[...] Le taux de chômage s'envole. La situation actuelle Qu'en est-il de la situation actuelle du marché du travail aux Etats- Unis ? Quelles sont ses caractéristiques et quel rôle joue le gouvernement ? En mars 2011, le taux de chômage était de en légère baisse par rapport au mois de février Les USA sont un pays favorisant la création d'emplois par les entreprises. En effet, les différentes sociétés ne souffrent que de peu de contraintes par rapport à l'embauche de salariés et surtout un faible coût. [...]
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