Le P.I.B est l'agrégat le plus utilisé par les économistes pour mesurer la croissance. Il est de 1 800 milliards d'euros en France. La croissance mesure le taux de variation du P.I.B.
C'est une notion macroéconomique, qui s'inscrit sur le long terme, décrivant un phénomène durable. Il peut y avoir des périodes d'accélération et de ralentissement durant une période de croissance ou de récession. C'est donc pour cela que c'est un indicateur utilisable sur le long terme (...)
[...] = Production des Administrations =Valeur ajoutée des biens et services Publiques. vendus sur un marché à des prix = Coûts des facteurs de production couvrant les coûts de production (Travail et Capital). Le P.I.B peut être calculé en ne prenant en compte que l'effet quantité. Pour cela, il suffit de déflater. B. Les différentes approches du P.I.B Par la production La production est l'activité socialement organisée visant à produire des biens ou des services s'échangeant sur un marché. P.I.B = VA taxes et subventions) Avec VA = Production Consommations intermédiaires. [...]
[...] De plus, la séparation pays développés pays en développement permet un avantage comparatif en faveur des pays en développement qui verront leur attractivité renforcée si les normes sont moins dures que dans les pays développés. La croissance génère donc des problèmes internationaux, d'où l'intérêt de réguler internationalement via des institutions internationales (comme le P.N.U.E : Programme des Nations Unies pour l'Environnement). Ainsi, les institutions internationales ont pour but de développer durablement Quelle régulation pour la croissance (comment) ? La croissance : pour que faire (pourquoi : quelle finalité à la croissance) ? sont les deux problématiques posées par cette introduction. [...]
[...] Cependant, trop de dérèglementation fait que les organismes tiennent difficilement debout, car la confiance diminue alors de manière inquiétante. L'économie de marché demande honnêteté et confiance pour dérèglementer et faire que le marché fonctionne pour le mieux, sans aucune rigidité. Les inégalités génèrent-elles de la croissance ? D'après les libéraux, les inégalités sont nécessaires, ou du moins favorables, à la croissance économique. Les inégalités forment ainsi le moteur, l'aiguillon de la croissance : l'individu a envie d'améliorer son sort en voyant celui des autres. [...]
[...] Inégalités de croissance et de développement A. Croissance et inégalités La croissance réduit-elle les inégalités ? La distribution primaire n'est pas juste, c'est pourquoi l'État procède à une redistribution : si l'on participe beaucoup, on reçoit beaucoup, si l'on participe peu, on reçoit peu et si l'on ne participe pas, on ne reçoit rien : la redistribution se fait selon la contribution au processus de production L'opinion de Kuznets Kuznets était un économiste keynésien russe (immigré aux États-Unis). Après la Seconde Guerre Mondiale, il a constaté que les inégalités de salaires et de revenus avaient diminué depuis le XIXème siècle. [...]
[...] La mesure du développement L'I.D.H D'après François Perroux, le développement est la combinaison des changements sociaux et mentaux d'une population qui la rende apte à faire croître cumulativement et durablement son produit réel global Le développement est une notion plus difficilement quantifiable que la croissance économique. Il correspond à ce que l'on fait avec le P.I.B et répond à la question : la croissance ? Pour quoi faire ? Dès lors, la croissance mène-t-elle toujours au développement ? La notion de développement est apparue dans les années 80. En effet, dans les années 60, les colonies ont obtenu leur indépendance, suite à la décolonisation. On a donc pensé : Comment les nouveaux pays peuvent se développer sans l'aide du pays colonisateur ? [...]
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