Défis, stratégiques, 'industrie pétrolière, résurgences, nationalisme, pétrolier, développement, alternatives
Pour mettre en place l'industrialisation du pétrole, il va falloir tout d'abord mettre en place l'exploration pétrolière, une compagnie lambda va devoir investir tout d'abord dans une licence, qui peut être acquise par le biais de réponses aux appels d'offres faites par les états concernés, il faut savoir que les pays sélectionnent les entreprises en fonction de leur capacité à mettre en oeuvre l'extraction pétrolière.
L'extraction s'effectue par le biais d'un sondage de sous sol (sorte d'échographie) ensuite la ressource naturelle va devoir être extraite par le biais d'un matériel de forage, il faut savoir que le forage en mer, appelé forage « offshore » est beaucoup plus couteux que le forage sur terre, forage « on shore », l'extraction peut varier entre 1,5 M$ et 150 M$ (puits on shore le moins chère et puits offshore le plus chère) il faut savoir que les conjonctures du secteur pétrolier entrainent aussi parfois des variations dans les prix du forage (4500 rigs en 1980, 3200 en 2008, global Santa Fe: premier producteur mondial racheté pour cause de dette en 2007 par Transocean), il faut savoir aussi que l'extraction du pétrole n'est pas quasi certaine il peut s'avérer que l'extracteur tombe sur aucun élément naturelle, de l'eau ou du pétrole, il faut savoir qu'il faut prendre en compte de l'ampleur, la forme et la nature de la structure rencontrée.
Avant l'exploitation du pétrole différentes études se mettent en place pour calculer la rentabilité de l'exploitation pétrolière, comme le calcul de la probabilité d'extraction, mais aussi le calcul du nombre de puits a foré, leur emplacement, leur forme, les puits supplémentaires (eau, gaz ou vapeur), après il y a le développement des champs on shore, définition des puits, constructions du pipeline, etc.
[...] Cette consommation devrait continuer d'augmenter au long des 25 prochaines années. Tandis que la consommation de l'Europe et du Japon devrait stagner ou croître légèrement, ce qui est dû à la convention de Kyoto. Cependant, l'essentiel de la croissance de la demande devrait provenir de la Chine. Avec une forte montée en puissance de la demande chinoise, entraînant une modification des rapports de force du marché du pétrole (Etats-Unis, Chine, Europe) et inciter ces puissances à ajuster leur politique étrangère pour s'assurer les faveurs des pays producteur. [...]
[...] Depuis cette dernière grande fusion, et face aux nouveaux défis de l'industrie, des potentielles fusions entre les majors et même les supers majors sont possible. En 2007 BP avait envisagé un rapprochement avec Royal Dutch Shell, mais celle-ci préfère se concentrer sur son portefeuille de nouveaux projets et réaliser des acquisitions d'actifs ou de petites compagnies indépendantes. p. [...]
[...] Ces différentes techniques sont : les offshores profond et ultra profond, la zone géographique de l'Arctique, les sables bitumineux et le pétrole lourd. Les ressources conventionnelles sont toujours abondantes. Les ressources non-conventionnelles tel que : les poches de méthane capturé dans les mines de charbon et les réservoirs à faible taille et faible perméabilité peut devenir profitable avec la technologie. Il existe d'autres ressources non-conventionnelles de gaz naturel qui ont été identifiées, d'une ampleur considéré comme supérieur à l'ensemble des ressources conventionnelles. [...]
[...] Les ressources de gaz naturel sont sensibles au coût de développement et de transport. Le transport en pipeline est peu couteux (quelque dollar, par baril), alors que le projet GNL couterait entre 15 à 30 dollar par baril. II) L'offre : L'offre est représentée par 2 grandes sources d'approvisionnement : Les pays de l'OPEP qui maîtrisent environ 40% de la production mondiale. Ils régulent le marché avec une stratégie d'approvisionnement à long terme, ce qui satisfit le consommateur. Et maintiennent une surcapacité de production en cas de forte tension de marché. [...]
[...] La hausse progressive des cours du pétrole brut active les mouvements de fusion et d'acquisition. Les compagnies nationales luttes comme elles peuvent face aux géant majors, notamment en Inde, Chine et au Moyen Orient. Par contre les compagnies internationales cherchent, elles, plutôt, à élargir leur porte feuilles. La compagnie norvégienne Staloil annonce en Décembre 2006 l'acquisition de la division exploration et production avec Norsk Hydro, il devient le plus grand producteur mondial de pétrole et de gaz naturel offshore devant Royal Dutch Shell. [...]
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