Fluctuations économiques, demande globale, croissance économique, dépression économique, demande intérieure, PIB Produit intérieur brut, crise des subprimes
La croissance économique se caractérise par son irrégularité. Ainsi, comme le rappellent les économistes, au cours des XXe et XXIe siècles, l'irrégularité fut pointée du doigt, que ce soit par la crise de 1929, le krach boursier, la crise pétrolière de 1973, la crise des subprimes en 2008, mais aussi par plusieurs crises et instabilités politiques, voir même sanitaires, comme il en a été démontré lors de la crise du coronavirus.
Les fluctuations économiques se définissent comme étant des mouvements d'accélération ou de ralentissement de la croissance économique. Pour pouvoir saisir ces fluctuations, il convient de retenir la différence générée entre la croissance effective, c'est-à-dire la hausse de l'offre et de la demande pour une année précise, et la croissance potentielle qui serait le taux maximal à atteindre en combinant les facteurs disponibles.
[...] Dans quelles mesures les fluctuations économiques s'expliquent-elles par les variations de la demande globale ? La croissance économique se caractérise par son irrégularité. Ainsi, comme le rappellent les économistes, au cours des XXe et XXIe siècles, l'irrégularité fut pointée du doigt, que ce soit par la crise de 1929, le krach boursier, la crise pétrolière de 1973, la crise des subprimes en 2008, mais aussi par plusieurs crises et instabilités politiques, voir même sanitaires comme il en a été démontré lors de la crise du coronavirus. [...]
[...] Par définition, les chocs d'offre seraient des variations de la condition de production. Ces chocs pourraient être positifs engendrant une expansion économique ou tout au contraire, négatifs et engendrant une récession. Les chocs d'offre trouvent leurs sources soit dans une augmentation des prix des matières premières, entrainant une diminution du pouvoir d'achat des ménages, et la baisse de la demande, mais aussi par des forces majeures extérieures, entrainant la destruction des moyens de production et donc une baisse des capacités de production, ou même par une hausse de la fiscalité sur les entreprises. [...]
[...] Le document 4 illustre ces propos. En effet, selon la Banque de France, une relation est à établir entre les crédits accordés à une clientèle non bancaire et le PIB en France de décembre 1978 à décembre 2013. Effectivement, une augmentation des crédits atteignant les entraine une augmentation du PIB de en 1978. Toutefois, la politique restrictive qui a eu lieu en 1986 et surtout en 2008 suite à la crise des Subprimes, témoigne d'une baisse drastique du PIB, diminuant de en 2008. [...]
[...] Pour comprendre cette affirmation, il convient de rappeler les composantes de la demande globale : la demande globale est la combinaison de la consommation finale, l'investissement, l'exportation et des variations de stock. En ce qui concerne la demande intérieure, on retrouve la consommation finale, il est à noter qu'elle influence la production des entreprises qui reposent sur une « demande anticipée ». Ainsi, plus la consommation finale est élevée, plus l'entreprise a conscience du marché, et produit en espérant répondre à une « demande anticipée », donc une demande future. [...]
[...] Toutefois, une récession peut être causée par la demande globale. En effet, il convient de suivre le même raisonnement. Lorsque la consommation finale des ménages diminue, les entreprises ne trouvent dès lors plus intérêt à produire davantage, ce qui conduit à une baisse de la production, voire une baisse de l'effectif salarié, qui entraine du chômage et donc diminution du pouvoir d'achat de ces derniers. D'autre part, un manque d'investissement ne génère plus une production accrue, ou même une production répondant au marché, ce qui de même conduit à une baisse de production et aux mêmes conséquences déjà énoncées. [...]
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