La croissance économique désigne l'augmentation de la production de richesse d'un pays qui entièrement redistribuée sous forme de revenus permettra d'améliorer le niveau de vie des habitants de ce pays. Chez les classiques, il y a deux facteurs explicatifs de la croissance économique : le travail et le capital. Ces deux facteurs décrivent la fonction de production d'une entreprise, qui s'écrit de la manière suivante : Q = f (L ; K) où L représente le travail et K, le capital.
Cette équation signifie que la production d'une entreprise est obtenue en combinant du travail (les salariés) et du capital (machines, matières premières). Une entreprise peut donc augmenter sa production soit un embauchant des personnes supplémentaires soit en achetant davantage de machines et de matières premières. Cependant, l'une des hypothèses de la fonction de production dans les théories classiques et néo-classiques est la loi des rendements décroissants qui stipule qu'au fur et à mesure que l'on augmente la quantité d'un facteur de production (l'autre restant en quantité constante), la production augmente moins fortement. Il en résulte l'idée d'une productivité marginale décroissante des facteurs de production. D'où l'idée que la croissance économique tend obligatoirement vers zéro à long terme. L'économie tend alors sur le long terme vers un état stationnaire à croissance nulle.
[...] Il existe : - la PPA absolue qui postule que la parité d'équilibre entre deux monnaies correspond à un même pouvoir d'achat normalisé. C'est l'idée de panier de marchandises similaires ; - la PPA relative précise que l'évolution des parités entre les monnaies reflète l'évolution relative du taux d'inflation des économies concernées. C'est l'idée de prix relatifs des paniers de marchandises. On raisonne le plus souvent aujourd'hui en termes de PPA relative, c'est-à-dire qu'on s'intéresse au différentiel d'inflation entre deux pays. Le taux de PPA a tendance à s'établir à un niveau qui compense le différentiel d'inflation. [...]
[...] Vers une convergence des trajectoires de croissance au niveau international ? I. Evolution des trajectoires et des inégalités entre les grands groupes de pays depuis les années 60 Rappel La croissance économique désigne l'augmentation de la production de richesse d'un pays, cette richesse entièrement redistribuée sous forme de revenus permettra d'améliorer le niveau de vie des habitants de ce pays. Chez les classiques, il y a deux facteurs explicatifs de la croissance économique : le travail et le capital. Ces deux facteurs décrivent la fonction de production d'une entreprise qui s'écrit de la manière suivante : Q = f ; Où L représente le travail et le capital. [...]
[...] Le coefficient de Gini, qui confronte la répartition du revenu mondial à celle de la population, nous donne un diagnostic assez pessimiste quant à l'évolution des inégalités entre les pays. Si l'on exclut la population de la Chine qui compte a elle seule 1/5ème de la population mondiale on constate une augmentation des inégalités depuis les années Pourquoi n'y a-t-il pas eu convergence ? A. L'ouverture des pays ne s'accompagne pas nécessairement d'une croissance. Le commerce international regroupe l'ensemble des échanges de biens et services entre agents résidents sur des territoires économiques différents. Le commerce international suppose donc une ouverture des économies sur le reste du monde. [...]
[...] Le PNB ne s'intéresse pas à la production des unités résidentes, mais à la production réalisée par les ressortissants d'un pays. Si l'on décide de classer les pays en fonction de leur PIB réel par tête en PPA, le classement serait le suivant : Pour les pays à IDH élevé : - l'Irlande serait en troisième position (contre la 8e) avec un PIB réel par tête en PPA de $ ; - les EU serait en quatrième position (contre la 10e) avec un PIB réel par tête en PPA de $ ; - la France serait en quinzième position (contre la 16e) avec un PIB réel par tête en PPA de $ ; - Hong Kong serait en dix-septième position (contre la 22e) avec un PIB réel par tête en PPA de $ ; - le Royaume-Uni serait en dix-huitième position (contre la 15e) avec un PIB réel par tête en PPA de Pour les pays à IDH moyen : - la Fédération de Russie avec un PIB réel par tête en PPA de 9230 $ serait en 55e position (contre la 62e) ; - la Thaïlande serait en 61e position (contre la 73e) et donc bien après l'Afrique du Sud ou la Guinée équatoriale qui avec un PIB réel par tête en PPA de $ se place en 26e position (contre la 121e) Pour les pays à IDH faible : Certains pays comme la Swaziland se trouve en 88e position contre la 147e c'est-à-dire bien avant des pays comme le Paraguay ou le Maroc. [...]
[...] Une dégradation des termes de l'échange pour les PED. Les termes de l'échange constituent un indicateur des conditions économiques de l'échange international. Ils indiquent les conditions dans lesquelles un pays échange ses importations contre ses exportations (combien de produits manufacturés pourrais-je avoir contre X quantités de matières premières Il y aurait une dégradation des termes de l'échange quand un pays doit exporter toujours plus pour se procurer une même quantité d'un bien importé (200 quantités de produits manufacturés permettent d'obtenir 600 quantités de produits agricoles). [...]
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