commerce international, avantages inconvénient, théorie des avantages comparatifs, économies d'échelle, internationalisation du commerce, Chine, Niger, Union-Européenne, Etats-Unis
A la fin de la Seconde Guerre mondiale, le commerce international connut sa première phase d'expansion et n'a cessé par la suite de progresser. Ce commerce international correspond plus particulièrement à l'ensemble des flux de biens et de services qui font l'objet d'échange entre les nations. Si le commerce international a connu un essor sans précédent ces dernières années, c'est que les pays ont trouvé avantage à suivre ce système. Pourtant, aujourd'hui encore, le projet de libre-échange entre l'Union-Européenne et les Etats-Unis par exemple est un traité qui en fait peur plus d'un.
[...] Le commerce international peut donc être un facteur du chômage dans certaines activités. En outre, le commerce international représente un risque très important pour les pays très ouverts et qui exporte énormément, car ils dépendent en quelques sortent de la demande extérieure. Et, en cas de crise, les conséquences peuvent être dramatiques, puisque la conjoncture risque de se retourner. C'est notamment ce qui s'est passé avec la crise de 2009, la Chine qui dépend énormément de la demande extérieure a été confrontée à un choc de demande négatif, ce qui a énormément affecté son économie. [...]
[...] La Chine, le Brésil ou encore l'Afrique du Sud en sont de bon exemple. Ce sont des pays qui à partir des années 60 sont devenus des pays émergeant en faisant le choix de développer leur industrie tournée vers l'export. II. Il y a néanmoins des points négatifs dans l'internationalisation du commerce Le commerce international a certes de nombreux points avantageux, mais il n'est sûrement pas sans limites. En effet, dans cet échange international, toutes les activités ne se valent pas et tous les pays n'y trouvent pas le même avantage. [...]
[...] Le commerce international ne présente-t-il que des avantages ? À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le commerce international connut sa première phase d'expansion et n'a cessé par la suite de progresser. Ce commerce international correspond plus particulièrement à l'ensemble des flux de biens et de services qui font l'objet d'échange entre les nations. Si le commerce international a connu un essor sans précédent ces dernières années, c'est que les pays ont trouvé avantage à suivre ce système. Pourtant, aujourd'hui encore, le projet de libre-échange entre l'Union européenne et les États-Unis par exemple est un traité qui en fait peur plus d'un. [...]
[...] Cela montre que les échanges ne sont pas équitables pour tous. Les pays qui se sont pour la plupart spécialisés dans la production de produit où la demande est dynamique (produits manufacturés) se sont mieux développés (par exemple la Chine) que ceux qui se sont spécialisés dans les produits de base. Cela conduit à ce qu'une multitude de pays du Sud se retrouve en quelque sorte dans une situation de marginalisation face au commerce international. (Ils sont dans une situation où l'indice des produits qu'ils importent augmentent plus fortement que l'indice des produits exportés, il est alors difficile de se développer.) De plus, à eux seuls, l'ouverture et le libre-échange ne suffisent pas à assurer la croissance et le développement. [...]
[...] Les échanges internationaux influent donc bien sur la croissance. De nos jours c'est l'OMC, le successeur du GATT qui toujours dans la continuité des pensées des deux théoriciens que sont Ricardo et Smith, s'emploie à libéraliser le commerce en favorisant l'ouverture après avoir vécu la crise des années 30 dont ils ont été témoin des dégâts engendré par la mise en place d'une politique protectionniste. Le commerce international est aussi bénéfique, car il dynamise considérablement les économies nationales puisqu'on passe d'un marché restreint au pays à un marché qui s'élargit sur le monde. [...]
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