La balance des paiements est un document comptable (généré en France par la Banque de France) retraçant les échanges entre les résidents d'un pays et les non-résidents. En France, il retrace donc les relations entre le « Reste du Monde » et les autres secteurs institutionnels. Ce document statistique élaboré sous forme comptable mesure les flux réels et les flux monétaires et est composé de trois comptes.
La balance globale rassemble les trois comptes de la balance des paiements. Le premier compte est intitulé « Compte des transactions courantes » et permet d'obtenir le solde courant qui est un indicateur de la capacité de financement (lorsque le solde est positif) ou du besoin de financement (lorsque le solde est négatif) d'un pays (...)
[...] Le commerce à l'intérieur de la Triade (terme vulgarisé par le Japonais Kenichi Ohmae) représente environ 71% du commerce mondial. Ce commerce intratriadique repose sur le nouveau commerce et les grandes firmes. Le commerce intrazone est extrêmement important, surtout en Europe. Le commerce intrazone se fait en défaveur de l'Europe et de l'ASEAN avec l'ALENA. Il explique les besoins et les capacités de financement. Les P.E.D se développe grâce aux transferts de technologies. Les transformations au niveau des échanges constituent le processus même de la mondialisation. [...]
[...] Par exemple, l'article 24 prévoit la possibilité d'une union douanière entre des pays à condition qu'il existe un tarif extérieur commun qui ne soit pas en contradiction avec les tarifs mis en œuvre précédemment. L'Union Européenne est donc autorisée par le G.A.T.T. Quelques fois, certains secteurs tels que les services (gérés par le G.A.T.S : General Agreements on Tariffs & Services), l'agriculture ou le textile, sont gérés à part. Le G.A.T.T ne gère que les marchandises : il ne gère donc pas les services, c'est le G.A.T.S qui le fait. [...]
[...] Les échanges de biens et services Biens et services sont dissociés dans le commerce international. Les échanges commerciaux ont commencé par être des échanges de marchandises. On observe depuis le G.A.T.S une montée en puissance des services qui représentent de nos jours entre un quart et un cinquième des produits exportés. Les échanges restent pourtant de nos jours majoritairement des échanges de marchandises. En 2005, les échanges de marchandises représentaient environ milliards de dollars ; en 2008, ils en représentent (et les services environ milliards de dollars). [...]
[...] Le commerce international est-il vraiment efficace pour les P.E.D ? Conclusion Depuis les années 1970, on a favorisé l'ouverture des pays sur le commerce mondial et on a instauré un dialogue Nord-Sud. Depuis les années 1970, on a favorisé l'insertion dans le commerce mondial alors que jusqu'à ce moment-là, on favorisait davantage le développement autocentré. Le Système Généralisé de Préférences consiste à établir un accord entre deux pays où il y a des avantages tarifaires non réciproque pour insérer les P.E.D dans le commerce international grâce à des aides pour qu'ils puissent rattraper. [...]
[...] Il parle de dépendance ou désarticulation. Cela est dû à la mauvaise spécialisation : les P.E.D ont une économie duale, désarticulée : ils produisent pour exporter, ce qui déstabilise les cultures vivrières. On peut voir alors le monde avec un centre, les pays développés, qui exploite et domine sur le plan idéologique, commercial, technologique, politiques les périphéries, les pays en développement. Il faudrait donc plus de protectionnisme et d'industrialisation pour pouvoir remplacer les importations par des produits fabriqués dans le pays (des produits locaux). [...]
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