Dans le cadre de notre cours de problèmes économiques appliqués, nous devions donc nous poser une problématique en ce qui concerne le concept de mondialisation. Nous avons donc pensé que le premier domaine touché était le commerce international. Nous nous sommes donc demandées quelles étaient alors les incidences sur la croissance et le développement.
Problématique développée : Le commerce international est-il toujours favorable à la croissance et au développement ? En d'autres mots, le libre échange favorise-t-il la croissance et le développement ? (...)
[...] o Le protectionnisme culturel qui est la forme la moins manipulable du protectionnisme puisqu'elle considère que chaque pays donne une plus ou moins grande préférence aux produits nationaux, l'initiative revient surtout à la population locale. Il ne peut pas être décrété mais simplement encouragé pour influencer la décision des consommateurs. Par exemple, les Etats-Unis sont un marché imperméable aux produits étrangers, alors que le Japon est souvent accusé de pratiquer un protectionnisme culturel qui rend difficile l'accès des entreprises étrangères sur le marché libre. c-Les dangers du protectionnisme Rentrer dans une logique protectionniste est toujours dangereux, à partir du moment où les économies sont en interdépendance étroite. [...]
[...] Aujourd'hui, la banque mondiale vise de plus en plus à lutter contre la pauvreté. o Le FMI : fond monétaire international crée en 1945. Il a 4 missions : -Encourager la coopération monétaire internationale, -Favoriser la guerre mondiale en favorisant le développement du commerce mondial, -Promouvoir la stabilité des changes Donner ou prêter de l'argent aux pays en développement. En théorie pour les aider à restaurer l'équilibre de leur balance des paiements. Mais le FMI donne ces crédits en posant ses conditions aux pays bénéficiaires. [...]
[...] Au final, le protectionnisme a des effets pervers et comporte le risque de détruire plus d'emplois qu'elle n'en protège. De façon général, les mesures protectionnistes éloignent d'une situation de concurrence en protégeant artificiellement les entreprises, elles empêchent leur modernisation en maintenant des entreprises peut rentables sur le marché et en faisant payer un surcoût au consommateur et au producteur. 3-La libéralisation des échanges Jusqu'en 1945, les règles des échanges internationaux sont plutôt au protectionnisme. Les périodes de l'échange constituent des exceptions. [...]
[...] Dans les années 60, les droits de douane moyens étaient de 40% et en 2005, ils étaient de 4%. o Les barrières non tarifaires qui sont les droits de douane déguisés ne portant pas sur le prix des produits mais sur leurs caractéristiques. Concrètement, un secteur peut se protéger en imposant des normes techniques et sanitaires aux importateurs. Il peut s'agir également d'obstacles administratifs (multiplier les procédures). Les pratiques de restriction quantitative sur les importations sont les quotas qui sont une restriction imposée aux importations, aux restrictions volontaires, aux exportations (il s'agit dans ce cas de restrictions négociées avec le pays exportateur). [...]
[...] nous répondons oui. A travers le libre échange, il a favorisé le développement de nombreux pays. Cependant, à chaque situation, à chaque contexte son fonctionnement et il ne faut pas totalement exclure le protectionnisme de notre manière d'aborder l'économie car il peut être aussi favorable au développement. [...]
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