Agriculture et développement, systèmes agroalimentaires, pays du Sud, ONU, mondialisation
L'agriculture est très importante pour les pays du Sud. En 2004, la FAO signalait que 54% des populations étaient employées dans l'agriculture et 15 à 25% du PIB (dans les pays du Nord >5% des employés).
Mais, c'est là où la population est mal nourrie: problème alimentaire (dans les campagnes et dans les villes). Il n'est pas rare d'assister à des émeutes urbaines de la faim (ex: Afrique).
Il y a de multiples enjeux comme nourrir une population en croissance rapide. Mais ils doivent également répondre à la demande mondiale (exportation) = dilemme ! (des devises qui lui permettent d'accéder à des biens d'équipements).
L'agriculture a accompli des progrès incontestables, mais qui sont loin d'être homogènes. Le problème de la faim et de la malnutrition subsiste toujours. Mais il ne faut pas faire de Malthusianisme, car la Terre peut nourrir une population beaucoup importante encore.
En 2000, l'ONU a retenu comme défi du millénaire de réduire de moitié le nombre de mal nourris d'ici 2015...
Jusque dans les années 1970, le monde rural dans les pays du Sud a été marqué par intervention de l'État pour satisfaire les besoins vitaux de leur population (réformes agraires, mise en place de systèmes de protection = révolution verte, avec des incitations pour moderniser l'agriculture). C'est une politique
volontariste, pour satisfaire les besoins. Depuis les années 90, on entre dans le cadre de la mondialisation, avec une libéralisation des échanges = changements notables dans le système productif.
(Certains s'affirment comme de grandes puissances mondiales = Amérique du Sud, mais d'autres en souffrent = Afrique).
[...] En Afrique, elle est en dessous de 2000 calories (éthiopie). Il y a eu une baisse dans les années 90 (900 de personnes) 1Md. En Afrique noir, près de 25 à 50% de la pop° souffre de sous-nutrition. On constate que c'est dans les pays où la population qui travaillent le plus dans l'agriculture, qui souffre de pb de la faim. Même quand les objectifs sont atteints, ou dépassés, la malnutrition peut subsister. La malnutrition : se définie par des carences alimentaires (notamment en protéine), car ils consomment peut de viande ou de poisson, ils mangent des céréales ou des féculents ! [...]
[...] Ces deux agricultures ont bénéficié des politiques de leur pays pour augmenter leur rendement. Aujourd'hui en Chine, depuis 2004, l'agriculture est totalement libéralisé et la Chine a atteint l'autosuffisance alimentaire. En Inde, les rendements ont augmentés mais ce n'est pas une réussite ne matière alimentaire, car le marché est mal régulé et il y a des fraudres. De plus, les prix sont légèrement plus élevé qu'en Chine et la population ne peut pas accéder à certaines produits : il y donc une moindre régulation qu'en Chine. [...]
[...] L'agriculture a accompli des progrès incontestables, mais qui sont loin d'être homogènes. Le pb de la faim et de la mal nutrition subsiste toujours. Mais il ne faut pas faire de Malthusianisme, car la Terre peut nourrir une population beaucoup importante encore. En 2000, l'ONU a retenu comme défi du millénaire de réduire de moitié le nombre de mal nourrit d'ici Jusque dans les années 1970, le monde rural dans les pays du Sud a été marqué par intervention de l'État pour satisfaire les besoins vitaux de leur population (réformes agraires, mise en place de systèmes de protections = révolution verte, avec des incitations pour moderniser l'agriculture). [...]
[...] Ces opérations de colonisation se sont attirés de nombreuses critiques, même si elles ont permis d'accroître les terres agricoles (des critiques sociales et écologiques) : la mise en valeur de nouvelles terres agricoles n'a pas été suffisante pour régler la question agraire. Les terres vierges d'Amazonie ne sont pas vierge pour tout le monde, puisque il y a des amérindiens, ce qui engendre de nombreux problèmes. Vers la libéralisation des marchés agricoles Elle intervient dans le contexte de crise des années 80 (crise de la dette pour les pays du Sud). [...]
[...] L'essentiel des terres est consacré a un élevage extensif, les terres arables représentent moins de 12% de la superficie agricole. 8/9 Le Brésil c'est la grande puissance régional, le centre de gravité du Mercosur, ainsi que pour l'agriculture. Si le monde rural n'a plus la même importance qu'avant, c'est du monde rural que s'est faite la croissance d'aujourd'hui (Sao Polo). On peut mettre en évidence 3 grands types d'usage de la terre : La forêt Les pâturages pour un élevage extensif : Ouest-Amazonie Zones cultivés : littoral du Nodeste et Sudeste (partie limité de l'espace Brésilien). [...]
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