Comment caractériser la société post-industrielle ? Société de connaissance (BELL) ou société d'information ?
1990 : « nouvelle économie » : modification de la logique des prix. Dans le langage de Smith c'est le temps passé à découvrir qui explique les couts ; dans celui de Marx, la plus-value est dans la conception et plus dans la production. (Exemple : médicament).
Firmes industrielles : on veut plus passer pour un concepteur qu'un producteur (Exemple : Renault 80 % des voitures livrées au concessionnaire en 50, 20 % aujourd'hui.)
Mondialisation : les firmes cherchent des produits qui auront le plus d'impact mondial, la recherche et l'apposition de la marque sont bien plus importantes que la stricte construction.
[...] La mondialisation des images de la mondialisation. Hier, on était privé du rythme du vie du centre (opposition centre- périphérie de BRAUDEL), comme si l'histoire ne s'était pas déroulé aussi vite dans la périphérie. Aujourd'hui image de la mondialisation universelle, pays les plus pauvres ont les mêmes aspirations que les riches : spectateurs d'un monde duquel ils ne peuvent être acteurs. Le décalage entre attente et réalité n'est pas forcement mauvais : -question démographique : l'explosion de la démographie dans les PVD est connue mais la transition démographique évolue très rapidement à notre époque et de nombreux pays l'auront bientôt achevé (Egypte : 13M en 1913 à 70M ajd, passage de 7 à 3,4 enfants par femme de 1950 à nos jours). [...]
[...] Electricité : les petits artisans pensaient prendre leur revanche sur les grosses industries. Internet : même idée, fin des patrons & grands groupes : Small is beautiful 2.Les nouveaux principes de l'organisation du travail. ASKENAZY, La croissance moderne, organisation du travail actuelle: adaptabilité, réactivité, qualité, optimisation du travail ( polyvalence accrue des salariés, délégation des responsabilités. Société de l'information//clientèle : juste à temps & sur mesure. Révolution informatique (mise en réseau) + toyotisme : diffusion à tous les secteurs de l'éco : accélération de la productivité aux US en 90. [...]
[...] L'homme se travaille lui-même, il renoue un contact avec l'humain ( Face to face ( F2F ) US, The economist de la pop travaille dans l'industrie MAIS l'industrie se tertiarise : le chiffre peut ê divisé par se rapproche de celui des paysans. L'éco tertiaire ne s'est pas débarrassé des objets : le volume continue à augmenter mais le cout de production est plus faible : un monde du travail sans contrainte de l'objet physique n'est pas encore pour aujourd'hui. Les ouvriers sont minoritaires, ils travaillent dans l'artisanat ; les employés travaillent dans des commerces : le client devient plus important que le patron. La société de l'information. [...]
[...] Même si la théorie Ricardienne ne l'impose pas, elle est obligatoire. Si le commerce est rendu possible entre une région pauvre et une région riche : la région riche s'enrichira du fait des économies d'échelle réalisable, la région pauvre enrichira son centre et la périphérie devra se spécialiser à l'extrême pour s'enrichir se rendant vulnérable. Les forces d'agglomération l'emportent sur les forces de dispersion. La nouvelle économie monde. BARBIE : exemple de la désintégration verticale de la production, reflet mondial du démembrement de la production fordiste. [...]
[...] 2.Les contradictions du fordisme début du fordisme, contradiction interne : OST : ennuie : absentéisme ( fordisme directement lié au désir de bien faire des ouvriers ( day : fin des problèmes. Dire que les salaires ont été augmentés pour que les ouvriers s'achètent une Ford est ridicule. Théorie du salaire d'efficience : le salaire contrôle la productivité et non plus l'inverse : tout le principe du fordisme. Unité de la Q sociale et de la Q éco : l'éco se charge de faire travailler et de rendre productif les plus pauvres et de les intégrer dans la société. [...]
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