Traits dominants, commerce international, mondialisation, entreprise, échanges commerciaux, biens et de services
La mondialisation du commerce international et l‘approfondissement des échanges internationaux ont conduit à une sorte de sphère commerciale qui représente une très grosse part de marché. La dimension internationale du marché d'une entreprise est de plus en plus grande.
Les échanges commerciaux de biens et services représentaient en 2008 un montant de 19 500 milliards de dollars. Il faut le comparer à une économie comme celle des Etats-Unis pour se représenter la masse que cela représente. En France le PIB était de 2800 milliards de dollars par exemple. Ces milliards de dollars se composent de biens et de services. 81% de des 19 500 milliards représentent le commerce des marchandises. Le commerce international c'est surtout les échanges de biens.
[...] o Baisse des coûts de transports - o Emergence de nouvelles régions dynamiques b. Les conséquences du développement des échanges o Ouverture accrue : + 2 o Taux d'exportation mondial : 20% du PIB en en 2007 Des degrés d'ouverture différents Une plus grande interdépendance Transmission rapide des conjonctures. A. Les grandes évolutions a. Evolution géographique : une polarisation forte. o Intégration : régionalisation des échanges (exemples de l'UE, projet ZLEA ) o Hiérarchisation : la triade domine encore b. [...]
[...] Déplacement des protections. On a eu des succès mais aussi des limites de l'ORD : 300 plaintes déposées depuis 1995 donc tout le monde peut se faire entendre. OMC et néo mercantilisme Néo protectionnisme persistant : chaque pays a sa manière de taxer ou de surtaxer les produits. Les mesures de rétorsions Accords d'auto limitation : restrictions volontaires d'importations Subventions : Accord bilatéraux et régionaux : forte hausse avec la création de l'OMC. Les limites du multilatéralisme et la crise de l'OMC Des domaines de négociation plus sensibles et moins légitimes : AMF, Agriculture, services (AGCS), propriété intellectuelle (ADPIC), IDE, sujets de Singapour Des décisions très régressives vis-à-vis des préoccupations des consommateurs et des citoyens (bœuf aux hormones, OGM) L'ouverture commerciale n'est pas une fin en soit Processus décisionnel difficile pour une légitimité finalement contestée : règle de l'unanimité, marchandage des Etats et lobbying, démocratie très indirecte, pas de réévaluation des effets socio-économique des accords ; Une finalité mise en doute : l'ouverture économique n'apporte pas plus de croissance, le commerce intra-firme de 40% du commerce international) échappe à l'OMC, la baisse des droits de douane déjà faible n'a plus d'impact. [...]
[...] Chapitre 1 : les traits dominants du commerce international 1. Les caractéristiques du commerce international La mondialisation du commerce international et l‘approfondissement des échanges internationaux ont conduit à une sorte de sphère commerciale qui représente une très grosse part de marché. La dimension internationale du marché d'une entreprise est de plus en plus grande. Les échanges commerciaux de biens et services représentaient en 2008 un montant de milliards de dollars. Il faut le comparer à une économie comme celle des Etats Unis pour se représenter la masse que cela représente. [...]
[...] On a aussi des alliances et fusions dans le maritime. Les 3 premiers opérateurs maritimes de conteneurs contrôlaient 16% des grands trafics en 1985 et 23% en 1999. Recherche d'espaces dérèglementés dits pavillons de complaisance 22% du tonnage en en 2002. Le problème repose sur la sécurité maritime. Recherche d'espace tonnage Concurrence entre territoire pour contrôler la logistique de la mondialisation : attractivité des espaces portuaires très dépendants des hinterlands, des stratégies d'implantation des armateurs, des modes de déréglementation. Stratégie de maitrise de filières : tendance à l'intégration multimodale du maritime Hanjin, Cosco, investissent dans des ports privés et des logistiques terrestres. [...]
[...] Le commerce intérieur est sous le dynamisme de quelques groupes. Les entreprises leaders : 3600 entreprises réalisent 85% des exportations les 20 premières représentent 26%. des entreprises exportatrices représentent seulement des exportations. Les clients : soldes, produits. Le principal fournisseur et client reste l'Allemagne. La Suisse est bon un client, l'Espagne également, le Royaume-Uni. Dans la zone euro, on fait l'essentiel des ventes et dans le reste de l'union européenne Excédents et déficits : une spécialisation dans le haut de gamme. [...]
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