Le commerce international est fondamental de par son impact sur la production et sur l'emploi. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le commerce international est devenu une variable décisive dans la croissance des pays. Cette internationalisation des économies peut être observée à travers le degré d'ouverture des économies calculer à travers différents instruments.
En France, le coefficient d'ouverture était de 8 % en 1947 contre 25 % en 2003, en Chine le coefficient d'ouverture était de 1% en 1973 contre 42 % en 2003. En dépit des chocs et des crises économiques, le processus d'ouverture est continu et s'accélère.
[...] RAPPEL : En cpp l'intensité concurrentielle est maximale, le marché n'est pas concentré. (Situation très difficile pour l'entreprise.) En monopole intensité concentration maximale, car intensité concurrentielle faible. Pour le consommateur la concurrence monopolistique a un effet positif pour lui, le consommateur aura plus de variété. Concernant l'oligopole mondial, ou la concentration est importante cela peut-être intéressant pour le consommateur s'il profite d'une baisse des prix liée à l'existence d'économie d'échelle. Mais il peut exister des cas, ou les firmes profitent de leur BAE pour empêcher une concurrence plus intéressante pour le consommateur d'entrée sur le marché. [...]
[...] La théorie de la concurrence imparfaite dans le CI (NTCI) a été développée par Paul Krugman dans les années 80. [...]
[...] En vertu du principe de spécialisation, le pays A va produire le ou les biens riches en capital, le pays B en fera de même pour le ou les biens riches en travail. Il montre que A va se recentrer sur les biens riches en capital, il va mobiliser ces ressources en capital avec le temps et le renforcement de la spécialisation, le capital va devenir de plus en plus rare et donc de plus en plus chère. Il va se passer le même phénomène dans le pays riche en travail. [...]
[...] Le commerce international semble impossible entre des pays industrialisés où les coûts de production sont souvent similaires, mais aussi où les dotations factorielles sont quasi-identiques. Or l'évolution du commerce international se fait entre pays industrialisés et les échanges intra-branches sont en constante augmentation. La nouvelle théorie du commerce international est une critique de HOS et notamment de l'hypothèse de concurrence pure et parfaite beaucoup plus que de Ricardo. Cette nouvelle théorie du commerce international se rapproche de l'économie industrielle internationale, car l'essentiel du commerce international se fait principalement par des grosses firmes. [...]
[...] Le coût moyen du pays A sera plus élevé que le pays le pays A tarifie au coût moyen par rapport à la demande Le pays B ne peut entrer sur le marché mondial, car pour un niveau de production inférieur à le prix de B sera supérieur au prix de A. A cause des économies d'échelle externes, la production mondiale se fait à un prix qui est supérieur à celui que l'on aurait pu avoir si B était rentré sur le marché. [...]
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