En 1957, apparition des eurodollars (dollars détenus par une institution financière non américaine). Ils naissent au départ de la guerre froide : les banques soviétiques avaient de forts excédents, elles détenaient des dollars placés à Wall-Street. L'URSS a redouté le gel de ses avoirs et a retiré ses dollars pour les placer en Europe, dans les banques commerciales de l'Europe du nord. Les eurodollars se développent vraiment quand les anglais autorisent leurs banques à gérer des dépôts en dollar ...
[...] Les débiteurs sont favorisés, tendances inflationnistes qui dévalorisaient les dettes car les banques créaient de la monnaie. Quand un débiteur n'arrivait pas à payer sa dette, le créancier trouvait une institution au-dessus de lui et assurait le défaut de paiement du débiteur. Pourquoi ? Une entreprise ( emprunte à une banque et ne peut pas rembourser. La banque a émis de la monnaie( elle a besoin de payer aussi d'autres banques commerciales par compensation), elle ne récupère pas ce qu'elle attendait. [...]
[...] Les banques centrales n'interviennent plus. Les monnaies peuvent fluctuer au jour le jour en fonction de leur demande ( comme les marchandises). Il faut définir autant de taux de change que de paires de monnaies possible. C'est l'observation permanente des taux de change par les analystes à l'origine d'arbitrage qui provoque la compatibilité des parités. Dans la réalité : les deux systèmes se présentent rarement de manière conforme à leurs définitions (ils sont souvent combinés entre eux). Exemple : même au XIXe, beaucoup de monnaies n'étaient pas convertibles en or. [...]
[...] Les financiers américains redoute la fuite des capitaux et retirent leurs fonds ( jeudi noir. Que les banques américaines n'arrivent pas à récupérer leurs créances et s'efforcent de ne pas renouveler leurs importations de crédit dans le reste du monde. Le reste du monde a besoin d'augmenter ses recettes à l'exportation pour rembourser ses dettes( cela accélère l'effondrement des prix dans les années 30 ainsi que la surproduction. Chaque pays s'efforce de casser ses prix pour avoir des exportations = course aux dévaluations. [...]
[...] ( Taux d'intérêt aux épargnants ( afflux de capitaux ( taux d'intérêt sur les crédits à l'économie ( ( de l'investissement national. Pour éviter de faire faillite, les banques cherchent à expédier leur argent à l'étranger. Les crises en Grande-Bretagne, aux États-Unis ont pour cause l'augmentation du taux d'escompte : crise internationale. L'Allemagne manque de liquidités, la France qui lui devait des dettes sur cinq ans lui paie en deux ans. En la dette est réglée, l'or n'arrive plus en Allemagne. Les banques allemandes cessent d'accorder des crédits, toutes les entreprises qui avaient spéculé sont en faillite. [...]
[...] Il va alors préférer faire venir de l'or plutôt que de la monnaie. Le pays qui fait sortir de l'or ( ( réserves en or alors que le papier monnaie chez lui a augmenté. Il ne peut pas maintenir la parité de sa monnaie, il est obligé de dévaluer, ce qui devrait provoquer un retour à l'équilibre commercial. Dans la réalité : peu de mouvements métalliques au 19ème siècle. Chaque pays a conservé ses réserves. Déjà au 19ème : problème ( pas très important) : balances sterling. [...]
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