Régulation globale, ONU, institutions économiques internationales, auto-régulation, régulation
Administration particulière qui a provoqué une rupture avec la doctrine de sécurité qu'avaient les USA.
Cas de l'administration de Bush : la principale caractéristique (quelle rupture ?) est que c la première fois qu'une administration conservatrice a été élue et surtout met en œuvre une politique réellement conservatrice aux USA. Reagan élu sur une politique conservatrice, mais n'en a pas réellement réalisée lorsqu'il a été élu. Pour Bush pas la paix par la négociation, mais la paix par la « force » qui précipite aujourd'hui une nouvelle course aux armements. Depuis que les conservateurs sont arrivés au pouvoir, …. Dick Cheney, vice-président et Donald Rumsfeld, ancien …ministre de l'intérieur, pour ceux-ci les négociations bilatérales ne servent que l'intérêt des USA, mais on leur fait comprendre qu'elles sont à la solde des USA.
Depuis lors, on a entendu dans la presse des critiques vis-à-vis de l'ONU. Malgré ces attaques, il est difficile de nier l'influence des Nations unies dans le monde non seulement par l'ensemble de ses agences spécialisées, mais aussi par ses réalisations sur le terrain dans des domaines variés tels que l'environnement, l'agriculture, l'éducation, l'alimentaire, la santé. L'ONU est très importante aussi pour les opérations de maintien de la paix et la présence de ses Casques bleus un peu partout dans le monde. Des observateurs de l'ONU existent pour la bonne tenue d'élections ou encore pour prêter main-forte à des forces de police dans le monde. Malgré l'efficacité, quelques problèmes qui vont nuire à sa crédibilité. L'ONU a fêté ses 60 ans en 2005
[...] Note : la République de Chine est Taiwan. Des propositions ont été faites pour modifier ce conseil : proposition faite par le RU suite à la guerre en Irak : porter le nombre de sièges du conseil de sécurité de 15 à 24. Les nouveaux membres ne disposant cependant pas du droit de veto. Plusieurs états ont fait bloc pour siéger au conseil comme membres permanents : l'Allemagne, le Japon (refusé par la Chine), le Brésil (refusé par l'Argentine) et l'Inde (refusée par le Pakistan). [...]
[...] Ce droit inter était suppose faire respecter des valeurs universelles qui sont en fait les droit de l'h or des le départ même sur cette question il y a eu différence d'interprétation. Toutefois deux dimensions dans son contenu (des droits de : -s'attache plutôt au droit civil et politique en priorité -les droits éco et sociaux Ces deux dimensions vont être considérées différemment par les vainqueurs de la seconde GM. Chaque camp défend la dimension qui lui convient. Les droit civils et politiques sont défendus par Usa et camp occidental (accuse le monde communiste de minorer voir de refuser ces droits). [...]
[...] La légitimité du FMI est elle aussi remise en cause. Celui-ci, qui avait joué un rôle très fort dans les années 70 par rapport aux pays d'Amérique latine n'est plus aujourd'hui qu'un acteur de second rôle. En effet entre 2005 et 2007, un certain nombre de pays très endettés ont pu se désendetter grâce à une forte croissance : Argentine, Brésil, Indonésie et ont ainsi privé le FMI d'une partie de ses ressources. Ainsi, en l'encourt des prêts du FMI était de 100 milliards de dollars, en 2007 il n'était plus que de 28 milliards de dollars. [...]
[...] Les Casques bleus proviennent essentiellement des pays du Sud (Inde, Bangladesh, Pakistan, Ghana en 2006 possèdent les plus gros contingentements, n'ont pas tjs les équipements et l'entrainement dans des opérations de maintien de la paix de plus en plus complexes). La limite des moyens Lorsqu'une opération de maintien de la paix est décidée, elle n'est pas financée par l'ONU. C'est une participation volontaire des Etats. Il faut donc attendre 6 mois à 1 ans pour que les sommes soient versées. Or, les conflits sont bien souvent intra nationaux, ils nécessitent donc des interventions rapides. [...]
[...] - La nomination des responsables de l'ONU échappe largement au secrétaire général : les états membres tentent à tout prix de placer leurs ressortissants. les gouvernement ont tendance à nous envoyer les personnes qu'ils n'arrivent pas à caser Kofi Annan. Ce sont donc les Etats qui sont les véritables patrons de l'ONU Limite de l'immobilisme Les principaux états membres rendent pratiquement impossible toute réforme majeure. Pour modifier l'équilibre des pouvoirs au sein de l'ONU il faudrait que cette réforme obtienne les suffrages des 2/3 des membres de l'assemblée générale et l'unanimité des 5 membres permanents. [...]
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