commerce international, mercantilisme, échanges internationaux, nouvelle DIT, politiques commerciales
Sous l'inspiration du mercantilisme la Grande-Bretagne adopte une politique protectionniste (qui va à l'encontre du libre-échange) dans le cadre de l'acte de navigation en 1651 ainsi la Grande-Bretagne impose l'utilisation de ses navires pour ses échanges avec l'Asie, l'Afrique et l'Amérique.
Le mercantilisme en France va conduire l'Etat à intervenir pour le développement de l'industrie avec la création d'entreprise, de manufacture publique (dont le propriétaire était l'Etat) et avec le relèvement des droits de douanes qui avait pour conséquence de surenchérir le prix des produits importés. Tout cela se fait sous l'influence de J-B Colbert (1619-1683).
[...] Toute les nations ayant participée a plusieurs années de conflit se retrouvent largement dominée par les Etats-Unis qui eux sont entré tardivement en guerre et deviennent le premier créancier du monde. Dans ce contexte les économies européennes connaissent un repli dans les échanges internationaux. Leurs parts de la production de biens manufacturés destinés à l'exportation sont divisés par deux alors qu'elle reste constante pour les Etats-Unis. Cette période de l'entre-deux-guerres est marquée par le retour du protectionnisme surtout à partir de la crise de 1929. [...]
[...] III/ LES POLITIQUES COMMERCIALES Les politiques commerciales déterminent le cadre d'intervention des pouvoirs publics sur les échanges extérieurs, elles se définissent au regard de leurs objectifs de protectionnisme ou de libre échange, seul ou en partenariat avec d'autres un état peut prendre des mesures en faveur de ses exportations ou à l'encontre des importations. DU GATT A L'OMC : DES INSTITUTIONS INTERNATIONALES FAVORABLES AU LIBRE- ECHANGE ET AU MULTILATERALISME Multilatéralisme : Il s'agit d'un mode d'organisation et de négociation économique et commerciales engageant la présence de plus de deux états. Le GATT créer le 30 octobre 1947 a pour objectif de limiter les accords bilatéraux au profit d'une logique multilatérale. Ainsi 23 pays ont acceptés différents principes en matière d'échanges internationaux. [...]
[...] 1965-1975 : Montée en puissance des économies européennes et du Japon. Depuis la fin de la 2nd guerre mondiale le commerce international a progressé à un rythme plus rapide que la production mondiale dans un contexte de domination d'une 20ène de pays (pays riches avec des coûts de production comparable) mais aussi dans un contexte d'ouverture international limité, de taux de change stable et de croissance économique soutenu. La DIT (division internationale du travail) conduit alors à distinguer les pays industrialisés spécialisés dans la production et l'échange de produits manufacturés et les pays en voie de développement spécialisés dans la production et l'échange de produits primaires (matières premières, énergies, Dans ce contexte les pays du tiers monde dénoncent la domination dont ils sont victimes et réclament la création d'un nouvel ordre économique international. [...]
[...] Ces écarts technologiques constituent de véritables barrières à l'entrée du marché pour les concurrents. L'analyse néo-technologique justifie alors une intervention des pouvoirs publics en faveur de la recherche et développement. C'est le cas de Paul KRUGMAN il explique l'avantage compétitif d'un pays par son investissement en recherche et développement. Commerce international et concurrence imparfaite Les 5 conditions de la concurrence pure et parfaite : atomicité (très nombreux demandeur et offreur), homogénéité, transparence, libre entré, libre sortie. Lorsque l'une des conditions n'est pas remplie on parle alors de concurrence imparfaite. [...]
[...] Selon HOS les Etats-Unis devraient donc être spécialisé dans les productions nécessitant beaucoup de facteur capital. Hors LEONTIEV a constaté que les exportations des Etats-Unis utilisent d'avantage de facteur travail que de facteur capital ce qui semble donc contradictoire par rapport au théorème HOS. C'est ce que l'on a appelé le paradoxe de LEONTIEV. LEONTIEV ne réfute pas pour autant le théorème de HOS mais va tenter de l'affiner. Il finira par expliquer la spécification des Etats-Unis par la productivité du facteur travail supérieur aux autres états. [...]
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