Vue d'ensemble de l'économie de la Pologne :
Depuis la chute du communisme, la Pologne a toujours poursuivi une politique de libéralisation économique et est aujourd'hui l'exemple type d'une économie de transition. Néanmoins, beaucoup reste à faire. Les privatisations de petites et moyennes compagnies d'Etat et d'une loi libérale pour établir de nouvelles sociétés ont tenu compte du développement du secteur privé. Cependant les obstacles légaux et bureaucratiques à côté de la corruption persistante entravent son développement ultérieur.
La Pologne comme toujours possède une grande partie de ses activités dans l'agriculture mais aujourd'hui des problèmes structuraux apparaissent : la main d'œuvre excédante, les petites fermes inefficaces, et le manque d'investissement. Les restructurations et privatisations "des secteurs sensibles" (par exemple, charbon, acier, des chemins de fer, et énergie), ont calé en raison d'un manque de volonté politique du gouvernement social-démocrate (post-communiste).
Les réformes structurales dans la santé, l'éducation, le système de pension, et l'administration d'état ont eu comme conséquence des pressions fiscales plus grosses que prévues.
Les finances publiques dépendent essentiellement des privatisations que l'état polonais a décidé d'effectuer mais celles-ci n'arrivent pas à combler l'énorme déficit public (51% du PNB en 2003).
La détermination du gouvernement pour entrer dans la zone euro a permis une nouvelle orientation de sa politique économique ainsi que sa législation. L'amélioration de la compétitivité de l'exportation de la Pologne ainsi que la stabilisation du déficit budgétaire interne sont les priorités majeures du gouvernement.
En raison de l'incertitude politique, le zloty s'est récemment déprécié par rapport à l'euro (10%) et au dollar, tandis que les devises des autres aspirants de la zone euro ont augmenté.
La Pologne a connu une croissance faible en 2003 (1,5%) mais celle-ci est cependant en hausse par rapport à 2002, tout en restant bien inférieure au taux de croissance des périodes post-communiste (1990-2001 : 4,5%)
[...] Néanmoins, beaucoup reste à faire. Les privatisations de petites et moyennes compagnies d'Etat et d'une loi libérale pour établir de nouvelles sociétés ont tenu compte du développement du secteur privé. Cependant les obstacles légaux et bureaucratiques à côté de la corruption persistante entravent son développement ultérieur. La Pologne comme toujours possède une grande partie de ses activités dans l'agriculture mais aujourd'hui des problèmes structuraux apparaissent : la main d'œuvre excédante, les petites fermes inefficaces, et le manque d'investissement. Les restructurations et privatisations "des secteurs sensibles" (par exemple, charbon, acier, des chemins de fer, et énergie) ont calé en raison d'un manque de volonté politique du gouvernement social- démocrate (post-communiste). [...]
[...] Les tâches des voïvodies concernent trois principaux domaines: - développement économique, y compris les relations économiques internationales et la promotion de la région - certains services publics, par exemple l'enseignement supérieur, les soins de santé spécialisés, les activités culturelles supra-locales - développement équilibré, et particulièrement la protection et l'utilisation rationnelle de l'environnement. La République de Pologne est un véritable carrefour européen où se croisent les réseaux commerciaux et de communication à travers le vieux continent. La Pologne en effet, des frontières avec 7 pays : Russie, Lituanie, Biélorussie, Ukraine, Slovaquie, République Tchèque et Allemagne. La religion catholique est profondément ancrée dans l'histoire et la culture polonaise (environ 90% de la population). [...]
[...] D'où son déficit commercial chronique qui aurait tendance à diminuer puisqu'en septembre 2003, elle aurait réussi à faire un petit solde commercial (positif). Cette amélioration du commerce est surtout due à la baisse du zloty du dollar et de la très bonne santé de l'euro. Les exportations restent bien inférieures aux importations cependant ces deux courbes ont la même progression Conclusion La Pologne est un des pays ex-communistes qui a le mieux réussi sa transition du point de vue économique. En effet pendant une longue période son taux de croissance était très élevé en moyenne jusqu'aux années 2000). [...]
[...] En dehors du territoire national vivent plus de 10 millions de Polonais et de personnes d'origine polonaise - essentiellement aux Etats-Unis, en Russie, en Allemagne, au Kazakhstan, en République tchèque, en Slovaquie, en France, au Canada, en Ukraine, au Brésil, en Biélorussie et en Ukraine. SYSTÈME POLITIQUE La Pologne est une république parlementaire. L'organe législatif suprême du pouvoir de l'Etat est constitué par un Parlement bicaméral, composé de la chambre des députés : la Diète (460 députés) et du Sénat (100 sénateurs), élus pour 4 ans. La fonction de chef d'Etat est remplie par le Président, élu au suffrage universel pour 5 ans. L'organe exécutif est le Conseil des ministres (gouvernement), responsable devant le Parlement et dirigé par un Président (Premier ministre). [...]
[...] L'amélioration de la compétitivité de l'exportation de la Pologne ainsi que la stabilisation du déficit budgétaire interne sont les priorités majeures du gouvernement. En raison de l'incertitude politique, le zloty s'est récemment déprécié par rapport à l'euro et au dollar, tandis que les devises des autres aspirants de la zone euro ont augmenté. La Pologne a connu une croissance faible en 2003 mais celle-ci est cependant en hausse par rapport à 2002, tout en restant bien inférieure au taux de croissance des périodes post-communiste (1990-2001 : Les comptes nationaux de la Pologne en 2001 et 2002 : Commentaires de conjoncture L'activité de la Pologne depuis quelques années est régie par la volonté d'adhérer à l'Union européenne. [...]
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