Système monétaire international, étalon-or, globalisation financière, Bretton Woods, convertibilité des monnaies
Le Système Monétaire International est un ensemble de mécanismes et de règles qui assurent les relations entre les monnaies et permet ainsi le développement des échanges commerciaux.
La balance des paiements mesure les échanges d'un pays avec le reste du monde.
Ces échanges ne sont permis que grâce à la convertibilité des monnaies entre elles. Le taux de change s'avère alors essentiel car il peut jouer sur la compétitivité entre autre. Les taux sont devenus volatiles avec la fin de Bretton Woods, accompagnés par la globalisation financière, il est difficile d'analyser ce qui les détermine vraiment.
[...] Cela remet en cause un modèle de développement : ces pays était attractif pour leur faible monnaie facilitant les exportations, ils ont voulu fidéliser les capitaux en s'arrimant au dollar, ça les a conduit à la crise. 2)En 1998, la crise se propage au secteru financier : rappatriement des capitaux, le Japon est touché, la croissance ralentie, le yen se déprécie et les cours japonais chutent. Les raisons d'une propagation si rapide sont le manque de transparence qui augmente les risques bancaires, la concentration des capitaux sur des secteurs spéculatifs à court terme mais pas à long terme. 3)La crise se propage hors d'Asie mais s'essoufle. [...]
[...] Les FMN et le développement des euromarchés (eurodollars) vont remmettre cela en cause. Passage à une économie de marché : développement d'innovations financières : marché des actions : taux de croissance annuel moyen : 15% ! ex : Nasdaq pour les entreprises à fort potentiel de Xce, Nouveau marché en France. marché obligataire : forte présence étatique (effet d'éviction donc). marché des produits dérivés : marché qui permet de minimiser les risques donc marché à très forte croissance. Conséquence : développement facilité pour les pays à fort potentiel (Asie du Sud-Est). [...]
[...] Finalement, les USA préfèrent déprécier après concertation : accord du Plaza en 1985 et du Louvre en 1987 pour éviter un krach, et baisse des taux d'intérêts. Enfin, la stabilité des flottements purs est donc surtout dûe à la coopération monétaire des pays plutôt qu'à l'efficience du marché. Depuis, le dollar perd peu à peu son influence, le yen et l'euro s'imposent comme monnaie de réserve ce qui implique l'apparition de nouveaux déséquilibres. L'EUROPE MONETAIRE C'est le projet d'intégration économique le plus aboutie au monde, elle concerne plus de 380 millions d'habitants. Le projet remonte à l'après- guerre. [...]
[...] -répartition des risques -information quasi-parfaite. Risques et limites de la globalisation financière : Le risque systémique : les interactions entre les anticipations des agents ne débouchent par sur un ajustement correcteur mais tendent à s'éloigner de l'équilibre. L'interconnexion de l'ensemble de places financières facilite la réaction en chaîne et la propagation des crises. Elles conduisent à l'insolvabilité des banques et touchent alors l'ensemble de l'activité économique. Les PED sont contraints d'avoir recours au financement externe du fait de la faible épargne intérieure. [...]
[...] Changes flexibles : politique monétaire devient plus efficace que la budgétaire (limitée par l'inflation). L'avantage des changes flexibles est qu'ils permettent de mieux encaisser les chocs éxogènes en dépréciant la valeur de la monnaie en principe. Ca conduit au triangle des incompatibilités : on ne peut avoir que 2 éléments compatibles sur les trois suivants : Liberté de circulation des capitaux, changes fixes, et politiques monétaires autonomes. On ne peut donc avoir les 3 en même temps. Bretton woods : autonomie des politiques monétaires, fixité des changes, donc pas de libre circulation des capitaux. [...]
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