Sociétés libérales, néo-libéralisme, totalitarisme, SDN, crise économique de 1930
Le point de départ est la première guerre mondiale. Cette guerre et l'entre-deux guerres montre les limites économiques et politiques car les gouvernements vont être confrontés à des nouvelles idéologies, à la mise en place des totalitarismes. Et les gouvernements de l'époque n'ont pas pu empêcher la montée de ces dictatures.
Avec la première guerre mondiale, les vainqueurs vont sortir renforcés sur le plan économique. C'est le début de la production de masse. Sur le plan politique, la SDN doit faire face à une situation politique difficile. Les traités conclus après la première guerre mondiale ont laissé des frontières mal déterminées. Les traités ont notamment créés de nouveaux litiges et la SDN n'arrive pas à faire face à ces nouveaux litiges. Cela sera accentué par la crise économique de 1930 et la politique mise en place par les États se révèle peu efficace.
[...] Ces principes, ces règles ne doivent pas être sujets à des trafics. Les députés élus pour 15 ans, non renouvelable et chaque année l'un de ces 15 est remplacé, et il y a aussi une permanence. Ils sont élus par des électeurs de plus de 45 ans, ces députés travaillent à la législation protectrice des droits de l'homme et liberté économique. Cette assemblée doit fournir un calendrier des droits permanents. Autre assemblée : assemblée exécutive ou gouvernementale, élue au SU. [...]
[...] Les gouvernements se sont reconnu la possibilité d'intervenir sous prétexte qu'ils agissent par la majorité. Notion de majorité a remplacé la loi. L'homme politique n'est plus le représentant de la volonté générale. Il va alors dénoncer certaines institutions : le bicaméralisme, le mécanisme de responsabilité politique théorique, le mode d'élection, les majorités électorales qui font des lois non pour satisfaire l'intérêt général, mais le leur et celui d'une partie des électeurs. De ces critiques il s'en suit une dégradation des institutions politiques par les sociétés démocratiques. [...]
[...] L'association de la société du Mont pèlerin 1947-61 : association internationale qui réuni des intellectuels, qui défendent la propriété privée, le respect des lois du marché, les libertés individuelles, la liberté de conscience, la responsabilité individuelle, la légalité des droits juridiques. Cela a une influence sur la politique libérale : Von Hayek. Tocqueville, formule générale pour exprimer ce qu'est le socialisme nouvelle forme de servitude La socialisation de l'économie et l'intervention de l'Etat sur le marché, conduisent à la suppression des libertés individuelles. Liberté est l'indépendance par rapport à la volonté arbitraire d'autrui. Marxisme, socialisme, fascisme aboutissent à l'instauration dune société totalitaire. Von Hayek, depuis l'université de Chicago, va écrire des articles pour combattre les idées de Keynes. [...]
[...] La loi sert de garantie pour la liberté. Tout autre intervention de l'État, tout autre contenu est illégitime au regard du droit naturel. Dans les sociétés occidentale années 50-60, les démocraties des États libéraux, élaborent des lois qui dépassent ce simple rôle de garantie de la liberté, car ces gouvernements légifèrent en matière sociale, pour la redistribution des richesses. Le politique sort ainsi et dépasse son rôle légitime. On recherche a réaliser cet idéal de justice sociale ou bien on abandonne toute revendication d'égalité de justice sociale ou on préserve les libertés individuelles. [...]
[...] SCP, division de pouvoir : le gouvernement est issu de l'assemblée exécutive et responsable, elle dirige l'administration. Elle prévoit la compétence d'un CC pour régler les litiges des 2 assemblées. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture