Aucun pays ne dispose sur son territoire de tous les biens nécessaires à la satisfaction de ses besoins, il est donc obligé d'importer les produits et pour obtenir les devises nécessaires au paiement des importations, il doit exporter. Les échanges internationaux sont de natures diverses. Il y a les échanges de biens tels que les produits de base comme les produits agricoles et les produits manufacturés comme les biens de consommation ou d'équipement.
Les échanges de services qui sont les voyages, les transports, les communications internationales et les redevances et droits de licence. Il y a également les échanges de capitaux qui sont les investissements directs à l'étranger, les échanges de revenus qui sont les salaires et dividendes, les échanges d'informations avec la nouvelle technologie de l'information et de la communication (NTIC) et pour finir les échanges de personnes qui sont la recherche d'un emploi, l'accomplissement d'une mission et les personnes fuyant leur pays.
[...] Les échanges internationaux sont de nature diverse. Il y a les échanges de biens tels que les produits de base comme les produits agricoles et les produits manufacturés comme les biens de consommation ou d'équipement. Les échanges de services qui sont les voyages, les transports, les communications internationales et les redevances et droits de licence. Il y a également les échanges de capitaux qui sont les investissements directs à l'étranger, les échanges de revenus qui sont les salaires et dividendes, les échanges d'informations avec la nouvelle technologie de l'information et de la communication (NTIC) et pour finir les échanges de personnes qui sont la recherche d'un emploi, l'accomplissement d'une mission et les personnes fuyant leur pays. [...]
[...] Valeur de l'exportations/valeur des importations X 100. Si le taux de couverture est supérieur à 100, il est excédentaire et si le taux de couverture est inférieur à 100, il est déficitaire. II) L'évolution des échanges internationaux Les évolutions sectorielles et géographiques Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, on assiste à une évolution des échanges internationaux au niveau de la nature des échanges et de la place occupée par les différents pays. Les échanges internationaux contemporains se caractérisent aussi par le rôle des firmes multinationales dont le poids est devenu considérable. [...]
[...] Les pays développés à économies de marché réalisent à eux seuls entre 65% et 70% des échanges. Les flux commerciaux se polarisent autour de la Triade, le commerce à l'intérieur et entre ces 3 groupes qui sont l'Amérique du Nord, l'Europe occidentale et l'Asie concentre environ 70% du commerce international. On constate que l'Union Européenne réalise 42% des exportations mondiales, l'Asie l'Afrique et les autres d'Amérique du Sud en réalisent chacun. Les échanges internationaux sont principalement analysés sous l'angle d'échange entre pays mais de plus en plus, on voit apparaitre le rôle grandissant des firmes multinationales. [...]
[...] C'est également la possibilité d'échanger. Pour les pays, c'est au niveau des flux commerciaux avec des échanges de biens et services, des flux d'investissements qui est l'acquisition d'une partie ou de la totalité d'une entreprise située hors du territoire national en vue de la contrôler, on parle alors de flux d'investissement direct à l'étranger, et pour finir au niveau des flux financiers qui représentent l'achat et la vente d'actions, d'obligations et de devises entre résidents et non-résidents dans un but spéculatif. [...]
[...] Les firmes multinationales et leurs filiales réalisent une grande partie des investissements directs à l'étranger, contrôlent le quart de la production mondiale et deux tiers du commerce international. Les investissements directs à l'étranger sont des constructions de sites à l'étranger ou des prises de participation supérieure à 10% du capital. Si la prise de participation est inférieure à il s'agit d'un investissement de portefeuille. Les raisons de l'implantation à l'étranger sont diverses telles que la main- d'œuvre moins chère, les avantages fiscaux, la réduction des coûts de transport et l'accès à de nouveaux marchés. [...]
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