L'internationalisation des économies a peu à peu laissé la place à la mondialisation. L'internationalisation supposait l'existence d'état nation entretenant des relations toujours plus importantes les un avec les autres : relations commerciales, IDE, prêts entre pays, échanges culturels… La mondialisation est l'étape suivante puisqu'elle remet en cause les états nations car elle instaure un marché unique (marché du capital, biens et services, voir marché du travail…). La mondialisation englobe l'étude du commerce internationale, l'analyse des stratégies des FMN et la mise en place d'un marché unifié des capitaux avec toutes les fluctuations monétaires que cela entraine.
[...] C'est donc les activités qui sont les plus rentables qui vont attirer les capitaux alors qu'au contraire les activités en déclin vont avoir des difficultés à trouver des sources de financement supplémentaires. D'où les opinions favorables au libre-échange Le libre échange est défini par l'abolition des barrières douanières qu'elles soient tarifaires ou non. Des organismes internationaux ont prôné et favorisé le développement du libre échange (FMI, OMC, banque mondiale au non du fait que le libre échange favorise la meilleure efficience possible. [...]
[...] Les FMN peuvent aussi faire des économies d'échelle car elles produisent en grande quantité, donc réduire les coûts de production unitaires. Stratégies d'élargissement du marché On peut s'installer à l'étranger pour être présent sur place pour vendre. Aujourd'hui, les FMN se rendent compte que si elles veulent s'accaparer une part de marché, il faut qu'elles soient présentes sur les lieux. Ainsi, elles peuvent faire des études de marché, s'adapter à la clientèle locale et faire connaitre au pays plus facilement le produit qu'on fabrique. [...]
[...] Evolution des flux de capitaux La mondialisation a favorisé l'explosion des flux de capitaux. Cependant il est compliqué de les comptabiliser étant donné la diversité des flux. Au niveau d'un pays, on comptabilise les flux de capitaux en divisant la somme total des différents capitaux par le total des échanges. Au niveau international, on trouve des statistiques sur les IDE, sur les opérations quotidiennes sur le marché des changes (chaque jour 1500 à 2000 milliards de Les flux de capitaux à très court terme posent problème car ils sont massifs et totalement incontrôlés. [...]
[...] Quand on fait ce type de raisonnement, on fait l'hypothèse que les facteurs de production sont immobiles, or, ils sont mobiles. Rendements croissants Les rendements croissants sont possibles grâce aux économies d'échelle (plus on produit, moins le coût de production est cher). Si les entreprises veulent être compétitives, elles ont intérêts à se concentrer pour produire plus, donc faire des économies d'échelle et ainsi réduire les coûts de reviens unitaires. Pour que ce soit efficace, il faut une stratégie mondiale car si on produit beaucoup il faut pouvoir vendre en dehors du pays afin d'écouler tous les stocks. [...]
[...] Si certaines valeurs s'imposaient, par exemple la tolérance, cela serait une bonne chose. Le fait qu'il y ait uniformisation peut permettre de réduire les conflits et de se sentir citoyens du monde. Conclusion La mondialisation est un phénomène multiforme, cependant lié les unes aux autres. Elle est aussi inégale puisqu'elle bénéficie plus aux pays développés. C'est un phénomène structurel, sans retour en arrière possible. La mondialisation est une des causes de notre développement. [...]
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