Sciences politiques, théorie HOS, Fond Monétaire International, conteneurisation, moyens de communication immatériels, marchés de taille mondiale, marchés de taille mondiale
À partir de 1945, les échanges vont se multiplier avec la nécessaire reconstruction des économies
occidentales. Entre 1945 et 2000, les échanges dans le monde ont été multipliés par 32, ce qui souligne
l'effort d'ouverture des différents pays du monde. Cette augmentation des échanges s'accompagne d'une
modification de la structure de ces derniers. En 1965, les biens représentaient 90% des échanges
mondiaux : les échanges de services étaient donc résiduels. En 2010, les échanges de services représentent
25% des échanges, et les biens 75%. La progression des échanges de services est beaucoup plus rapide que
celle des biens, d'où la diminution du pourcentage d'échange de biens.
[...] Le doublement du taux d'ouverture accentue la dépendance économique de la France vis-à-vis du reste du monde. En particulier, l'Allemagne reste le pays avec lequel nous entretenons le plus d'échanges. L'augmentation des échanges et la progression du taux d'ouverture des économies sont des aspects importants du phénomène de mondialisation. On observe aujourd'hui l'émergence de marchés de taille mondiale, organisés sur la base de prix mondiaux. Les acteurs centraux de la mondialisation sont les firmes multinationales qui sont, pour beaucoup, de taille mondiale. [...]
[...] L'internationalisation des échanges A. La progression des échanges internationaux L'évolution des échanges internationaux À partir de 1945, les échanges vont se multiplier avec la nécessaire reconstruction des économies occidentales. Entre 1945 et 2000, les échanges dans le monde ont été multipliés par 32, ce qui souligne l'effort d'ouverture des différents pays du monde. Cette augmentation des échanges s'accompagne d'une modification de la structure de ces derniers. En 1965, les biens représentaient 90% des échanges mondiaux : les échanges de services étaient donc résiduels. [...]
[...] Le Fond Monétaire International prête aux États en fonction de leurs réserves de change. La Banque mondiale, elle, accorde des aides et des prêts aux projets de développement Les théories du commerce international La théorie classique montre que tous les participants gagnent au commerce international. Adam Smith suit la théorie des avantages absolu : une économie se spécialise dans la production pour laquelle elle a un avantage par rapport a la concurrence et importe les produits pour lesquels elle a un désavantage. [...]
[...] Des organismes internationaux ont également favorisé l'ouverture des pays et la croissance du commerce mondial. Le GATT, apparu en 1947, a accompagné la baisse des tarifs douaniers après la guerre. Au cours des rounds de négociation, les tarifs douaniers ont baissé par étapes et les obstacles non tarifaires se sont amenuisés. En 1995, l'OMC a pris la suite du GATT en s'élargissant. Le premier accord du GATT de 1947 ne comptait que 25 signataires, alors qu'aujourd'hui l'OMC, gardien de la liberté des échanges, compte quelque 150 membres. [...]
[...] Cette théorie explique assez bien les échanges entre pays développés et en voie de développement, avec un commerce interbranche. Néanmoins, ce commerce ne représente que 20% du commerce mondial, les 80% étant réalisés entre pays développés sur la base d'un commerce majoritairement intrabranche. Selon la théorie de Linder (1961), les pays développés commercent entre eux en raison de leur niveau de développement économique et social comparable. Autrement dit, le pouvoir d'achat est la donnée qui explique majoritairement les échanges, complétée par des goûts et des besoins comparables. [...]
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