Commerce international, échanges internationaux, protectionnisme, inégalités de revenus, compétitivité, coût salarial, producteur, commerce, économie de marché, chaîne de valeur
Commerce international : un flux de marchandises, de biens ou de services échangés dans un espace économique. Il évolue en fonction de la croissance annuelle du PIB et de la croissance du commerce international. Il est source de croissance grâce à la spécialisation de libre-échange.
Avantages : augmentation des quantités échangées ; baisse des prix ; baisse des prix intermédiaires ; baisse des coûts unitaires ; ouverture internationale qui donne accès à des nouvelles idées/innovations.
[...] Mais baisse des surplus du producteur et suppression des entreprises les plus fragiles. Inégalités entre les pays : la spécialisation par dotation factorielle permet la baisse des inégalités de revenus (hausse de demande, hausse de salaire, hausse de niveau de vie) mais les pays ne sont pas tous égaux face à l'ouverture internationale - Toutes les spécialisations ne se valent pas (certaines rapportent plus de devise et recette) - Gain à l'échange inégal - L'état n'intervient pas si le pays garde une production de produit primaire, donc risque de rester figer dans une spécialisation qui rapporte peu Inégalités de revenus dans le même pays : dû à l'amélioration du niveau de vie moyen avec l'ouverture internationale. [...]
[...] L'État peut participer à construction des AC. Dotation factorielle : quantité de facteur de production disponible dans une économie. Dotation technologique : techniques de production et d'innovations disponibles dans une économie. H.O.S : spécialisation dans la production qui utilise plus de dotation factorielle capital ou travail. Pour eux, l'origine des avantages comparatifs vient des dotations nationales de facteurs Couts de production : (unités K pour le produit x une unité + (unités T pour le produit x une unité Échanges internationaux : grâce au capital technologique qui apporte des avantages comparatifs. [...]
[...] Limites : pas d'égalité de croissance entre les pays ; délocalisation des entreprises ; pas d'avantages mutuel ; toutes les spécialisations ne se valent pas. Protectionnisme : ensemble de mesures prisent par le pouvoir public pour protéger les entreprises nationales de la concurrence des entreprises étrangères et déloyales. Aide au développement des entreprises naissantes ; encourage production nationale et agricole ; protège des emplois ; régulation des échanges. Mais doit être éphémère sous risque de rester bloqué. Protectionnisme tarifaire : - Droit de douane : augmentation des prix sur marché national, moins compétitif auprès des produits nationaux - Subvention publique : aides les producteurs donc baisse des prix et des couts - Baisse du taux de change : augmentation des prix d'exportation et baisse des prix d'importation Protectionnisme non tarifaire : - Règle du contenu local : intégrer les composants nationaux dans les productions - Normes sanitaire ou technique : doit être conforme aux normes imposées par le pouvoir publics - Quota d'importation : limite des quantités importé sur territoire national - Protection monétaire. [...]
[...] Il évolue en fonction de la croissance annuelle du PIB et de la croissance du commerce international. Il est source de croissance grâce à la spécialisation de libre-échange. - Avantages : augmentation des quantités échangées ; baisse des prix ; baisse des prix intermédiaire ; baisse des couts unitaires ; ouverture internationale qui donne accès à des nouvelles idées/innovations. Principaux acteurs du CI : 1er en importation mondiale = Etats-Unis ; 1er en exportation mondiale = Chine Éléments contribuant l'augmentation des échanges : - Baisse des tarifs douaniers - Création de l'OMC - Augmentation des tarifs exportations - Baisse des tarifs aériens et maritimes - Développement des containers A.Smith : avantage absolu : se spécialise dans le produit qui a une productivité du travail plus forte et un cout plus faible, se mesure grâce à l'écart de productivité. [...]
[...] Les firmes multinationales font des IDE ce qui participent à l'internationalisation de la production. Il y a une volonté de localiser les activités du processus de production. IDE : investissement direct à l'étranger. Une entreprise ou un particulier peut acquérir au moins 10% du capital social d'une société implantée à l'étranger. Possibilité de créer une entreprise appartenant au groupe et possibilité de racheter une entreprise pour faire partir la sous-traitance (externaliser ou confier une part de la production à une entreprise qui ne fait pas parti du groupe) Effet du commerce international sur les consommateurs : baisse des prix ; augmentation du pouvoir d'achat ; plus de variété et d'offre. [...]
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