Economie, mondialisation, économie mondiale, finances internationales, finance
Il faut justifier de commencer un cours économique international en s'appuyant sur l'histoire des idées économiques. On peut imaginer que les individus font l'histoire. On peut imaginer que ce sont les structures et c'est la conception marxiste pour qui les formes des droits de propriété et l'état du progrès technique donne sa forme à l'ordre social. Mais, on peut aussi imaginer que ce sont les idées qui mènent le monde : telle est l'opinion par exemple de Keynes qui écrit dans la théorie générale :
« Les idées justes ou fausses des philosophes… ont +… Le monde est presque exclusivement mené par elle. Les hommes d'action (nos politiciens) qui se croient parfaitement… sont … nait quelques années + tôt dans Nous sommes convaincu que nous exagérons la force des... par rapport à l'empire qu'acquièrent progressivement les idées … ce sont les idées et non les intérêts… qui tôt ou tard sont dangereuses pour le Bien ou le Mal »
Les idées, justes ou fausses, des philosophes de l'économie et de la politique ont plus d'importance qu'on ne le pense en général. À vrai dire, le monde est presque exclusivement mené par elles. Les hommes d'action (nos politiciens) qui se croient parfaitement affranchis des influences doctrinales sont d'ordinaire les esclaves de quelque économiste passé. Les illuminés du pouvoir qui se prétendent inspirés par des voies célestes distillent en fait des utopies nées quelques années plus tôt dans le cerveau de quelque écrivailleur de Faculté.
[...] Les pauvres sont dominés de telle façon que malgré qu'ils perdent à l'échange, ils l'acceptent quand même (cette thèse est l'équivalent de celle qui expliquerait que quoiqu'exploités, les salariés acceptent de travailler pour les patrons alors que leur force de travail est mal rémunérée). Si cela est exact, on doit pouvoir vérifier qu'il y a des gagnants et des perdants dans l'échange par la technique statistique des termes de l'échange. On va supposer que le pays pauvre produit du blé et le riche des tracteurs. [...]
[...] Section le fonctionnement du GES L'histoire du SMI de Bretton-Woods à sa mort se divise en 3 périodes: jusqu'en 1951, le système fonctionne très correctement de 1951 à 1967, le système commence à se désarticuler de 1967 à 1971, le système va se désintégrer les raisons du succès de la période d'installation D'une part le plan Marshall aide puissamment à la remise en route des économies européennes. Qui plus est, le redémarrage du dynamise l'économie mondiale en quelques années. Et en particulier la puissance de l'économie américaine devient + visible (effet de réputation) d'années en années. Sa balance commerciale est largement excédentaire, ce qui explique la confiance dans le le système se détériore (1951-1967) le paradoxe de la confiance et de la liquidité Il y a une contradiction mortelle au sein du système de Bretton-Woods. Tout repose sur le monnaie de réserve. [...]
[...] Myrdal est le père de la sociale démocratie en Suède dans les années 1970. Le suédois Myrdal et l'argentin Presbisch ont fait passer leur message auprès des organismes internationaux et aujourd'hui encore l'idéologie dominante à l'ONU mais aussi auprès d'organismes chargés du développement comme la CNUCED ou l'UNICEF. Parallèlement, de nombreux pays riches, à commencer par les EU, ont prétendu venir en aide aux pays pauvres au motif de réparer le mal qui leur avait été fait. L'aide pour réparer le mal fait a pris tantôt la forme de subventions et de prêts à travers les organismes internationaux (FMI, banque mondiale) tantôt la forme de la tolérance douanière au nom du double standard de moralité qui d'une part autorise les pays pauvres à se protéger contre les importations et d'autre part obligent les pays riches à supprimer toute protection pour les importations venant des pays pauvres. [...]
[...] Mais si nous échangeons, cela veut dire que celui qui vend accorde + de valeur à ce qu'il achète qu'à ce dont il se sépare, sinon il ne ferait pas, et inversement. Un gain net se fait jour. L'échange ne peut être inégal puisque chacun retire des satisfactions subjectives dont il n'existe pas de mesures objectives. Et ce sont justement ces différences d'appréciation qui provoquent l'échange. + fondamentalement encore, la mondialisation et l'échange ont une dimension étique puisque l'échange repose sur 2 volontés libres qui se rencontrent dans un contrat et qui échangent des droits de propriétés qui sont à eux. [...]
[...] Mais imaginons un instant que la France en 2010 ait le même volume de moyens paiement qu'il y a 60ans. Cette absence de liquidité assècherait complètement le circuit économique. Il faut donc que la monnaie augmente d'une année sur l'autre afin de fluidifier le circuit économique. Le problème monétaire fondamental consiste à trouver le point d'équilibre parfait entre une monnaie suffisamment stable et suffisamment souple (assez de monnaie, mais point trop). Se pose alors tout de suite la question fondamentale de l'émetteur de monnaie; c'est-à-dire de l'offre de monnaie. [...]
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