Depuis la Seconde Guerre Mondiale, le commerce international s'est fortement développé (création du GATT). On n'a plus d'économie par pays ou par zone, on parle de mondialisation de l'économie (voire de la finance). Le progrès technique a permis cela : développement du transport notamment.
La Balance des Paiements (BdP) française est établie par la banque de France, en relation avec le ministère de l'économie, mais les règles sont imposées par le FMI (...)
[...] La situation du continent africain est plus préoccupante car ce territoire a tendance à se refermer sur lui-même et les pays africain dépendent de la production d'une seule matière première. Le G20 (19 pays + président de l'Union européenne) représente 2/3 du commerce mondial et 2/3 de la population mondial mais il représente plus de 90% du PIB mondial La régionalisation des échanges Mesure pour protéger une région. Ces accords se créent depuis les années 50 (première zone de régionalisation : CEE 1957). [...]
[...] Cela permet à toute entreprise de recevoir des financements privés. - Cette globalisation permet aux entreprises d'améliorer leurs bénéfices : les firmes multinationales exportent vers l'étranger ayant des monnaies différentes donc risque de variation du taux de change ce qui peut signifier une perte ou un gain pour l'entreprise. Ces nouveaux produits financiers vont pouvoir couvrir une perte liés aux variations du taux de change. Ces produits financiers, appelés produits de couverture en entreprise, étant de plus en plus répandus ont un coût beaucoup plus faible. [...]
[...] Ce taux permet de connaître les répercussions d'une crise. Plus le taux va être important dans les pays plus la répercussion va être forte. La France avait un degré d'ouverture de 11% en 1960 aujourd'hui il est aux alentours de ce qui signifie que si une crise économique éclate dans le monde, les pays vont être fortement touchés car les pays sont très dépendants les uns des autres. Les pays bas ont un taux d'ouverture supérieur à ils seraient donc les plus touchés en cas de crise. [...]
[...] Ces acteurs se sont adaptés et ont modifié leur rôle : aujourd'hui les banques achètent les titres aux entreprises et les revendent à leurs clients. Décloisonnement des marchés ( avant le marché des changes (les changes sont fixés) et le marché des capitaux (achats de titres, capitaux) formaient deux marchés totalement distincts. Aujourd'hui, il y a une unification de ces deux marchés : on parle de marché bancaire. Déréglementation ( suppression de l'encadrement du crédit et de toute forme de contrôle. Aujourd'hui les institutions financières sont privatisées. Cela est reproché aujourd'hui comme la cause à la crise financière de 2008. [...]
[...] Ex : pour attirer les capitaux étrangers nécessaires au financement des entreprises l'Etat doit fixer un taux d'intérêts élevé, le problème est que cela se répercute sur les citoyens du pays car s'ils souhaitent emprunter ils auront un taux d'intérêt élevé (ils sont sacrifiés). - Le gonflement des transactions qui favorise la spéculation. Tous ces produits sont côtés en bourse. L'activité financière se déconnecte de l'activité économique réelle. La valeur d'une entreprise est censé être traduit par le total des valeurs des actions mais certain spéculent et que l'entreprise va prendre de la valeur dans l'avenir. Ces phénomènes spéculatifs peuvent créer des bulles financières (une entreprise est surestimée). [...]
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