Économie de la mondialisation, mercantilisme, politique économique, protectionnisme de List, Marx, néomarxistes, théorie marxiste, David Ricardo, néoclassiques, théorie ricardienne, Montesquieu, Bastiat, intentionnalisme, justice sociale, altermondialistes
Les idées qu'une tribu, qu'un ordre social se fait à propos d'un certain nombre de sujets sont-elles issues du marché des idées lui-même ou bien est-ce que ce sont les individus qui font l'Histoire ou encore est-ce que ce sont les institutions en particulier juridiques qui façonnent un ordre social en un moment donné ? Dans ce dernier exemple, la structure des droits de propriété permettrait au possédant d'acheter la force de travail et d'exploiter cette force de travail.
On va privilégier l'approche par le marché des idées car si le rôle des individus est décisif, rien sans doute n'égale le panier d'idées que nous possédons comme cause explicative d'une part de ce que nous pensons mais aussi d'autre part de nos actions.
[...] Du même coup, l'échange abolit les frontières en les surmontant. À cause de la guerre, ce sont les hommes de l'État ; ce sont les frontières ; ce sont les idées insensées qui fait qu'au-delà du Rhin, un être humain est qualifié d'Allemand et de l'autre côté du Rhin, il est qualifié de Français et pour une ligne hypothétique qualifiée de frontière ou pour une portion de territoire infirme, les hommes de l'État sont capables de jeter des peuples entiers les uns contre les autres dans des guerres absurdes, qui le sont d'autant plus que dès le traité de paix, nous sommes censés être redevenus amis. [...]
[...] Clinton demande donc à la banque centrale de donner des taux d'intérêt très bas afin de fluidifier les flux monétaires. Rien à voir avec le marché jusque- là donc. Évidemment, les Américains qui sont les plus solvables et qui ont les meilleurs dossiers de crédit sont déjà propriétaires de leur logement. S'ils présentaient des dossiers, c'est ce que l'on appellerait des crédits prime. Et quand le dossier est de mauvaise qualité c'est-à-dire que le débiteur est douteux potentiellement dans ses remboursements, comme c'est un dossier en dessous, moins bon, on appelle cela des subprimes. [...]
[...] Au XIXe siècle, ce que l'on appelait pudiquement le voyage en Italie consistait non seulement dans une totale impunité et avec une certaine tolérance à aller dans le sud de l'Italie, à Naples et en Sicile, et se livrer à ce qui aujourd'hui, fort justement, est considéré comme un crime effroyable. D'ailleurs, les ecclésiastiques ne se privaient pas et n'étaient pas condamnés. En tout cas, c'est en régression constante. L'information étant générale, les pervers prennent peur et cela élimine nombre de comportements auxquels ils voudraient se livrer. [...]
[...] La monnaie est une institution parmi les plus fondamentales de l'histoire humaine. En passant de l'économie de troc à la monnaie, on accomplit un progrès considérable qui est l'une des quelques raisons, du reste, qui ont participé au déblocage de l'économie. La première définition de la monnaie est une définition fonctionnelle c'est-à-dire que l'on peut définir la monnaie par ses fonctions. À l'aune de ce critère, il y a quatre fonctions de la monnaie. La monnaie est d'abord une unité de compte. [...]
[...] Il suit de près l'apparition du billet de banque. Le billet de banque a ceci d'intéressant que non seulement il est plus pratique que de porter des sacs d'or et d'argent, mais en outre, les risques d'agression sont quand même moins forts, bien qu'ils existent encore. Le billet de banque repose sur la confiance et c'est la raison pour laquelle on l'appelle la monnaie fiduciaire du latin fides qui veut dire confiance Le coût d'un billet de banque est infinitésimal. [...]
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