économie internationale, les paiements internationaux, commerce international, opérations de change, productivité
Chaque pays a intérêt à se spécialiser dans les productions où il possède un avantage absolu en matière de productivité et à se procurer les produits pour lesquels il est en situation d'infériorité absolue du point de vue de la productivité.
Productivité selon Smith :
Ce n'est pas lui qui a innové. Le premier a été François Quesnay (livre sur l'étude d'une entreprise de fabrication d'épingles). Moyen de produire plus en organisant le travail.
La dimension économique :
- La productivité moyenne (horaire) : combien de produits sont réalisés pendant un laps de temps.
- La productivité marginale : le coût d'une unité supplémentaire produite
Comment réduire le coût de production en travaillant plus.
- Pour Smith, la productivité dépend de l'homme ou de la machine : la machine a une productivité identique alors que l'homme a une productivité variable
(Taylor : « l'homme a tendance à réduire son temps de travail par la flânerie. »)
- La productivité n'est possible que s'il y a un investissement en qualité : investissement dans des machines qui produisent de plus en plus → augmentation de la productivité → remplacement de l'homme par la machine (début du monde industriel)
[...] Cette gestion centralisée de l'économie ne permettait aucune adaptation aux besoins ou à la demande et assurait les débouchés aux productions des entreprises. L'héritage de cette économie : La Russie hérita ainsi d'entreprises d'état fortement concentrées et peu compétitives, avec une main d'œuvre abondante (les ont plus de 1000 ouvriers), d'un tissu industriel vieillissant et inadapté ainsi que des technologies obsolètes. Elle hérita aussi d'une industrie lourde surdéveloppée, d'un secteur tertiaire quasi-inexistant, d'une agriculture collectiviste aux faibles rendements et d'une pénurie de biens de consommation (voitures, ) Le domaine industriel a été le principal moteur de la croissance, aujourd'hui la Russie est le 4ème producteur mondial d'acier, le second producteur mondial d'aluminium, la sidérurgie et la métallurgie servent de base à une puissante industrie mécanique et d'équipements de transport. [...]
[...] Il repose sur l'idée que le marché peut réguler la politique monétaire. Sur les 10 dernières années crises financières sont apparues et le marché n'a jamais réussi à limiter les effets (crise Russe et le pb du rouble, crise Asiatique avec une dévaluation monétaire, crise en Argentine avec une dévaluation de Peso) La réglementation des changes : un pays qui souhaite contrôler ses mouvements financiers peut limiter les transferts vers l'étranger. Cette mesure est immédiatement efficace mais elle a générée des transferts vers les paradis fiscaux. [...]
[...] Productivité selon Smith : Ce n'est pas lui qui a innové. Le premier a été François Quesnay (livre sur l'étude d'une entreprise de fabrication d'épingles). Moyen de produire plus en organisant le travail. La dimension économique : o La productivité moyenne (horaire) : combien de produits sont réalisés pendant un laps de temps. o La productivité marginale : le coût d'une unité supplémentaire produite Comment réduire le coût de production en travaillant plus. o Pour Smith, la productivité dépend de l'homme ou de la machine : la machine a une productivité identique alors que l'homme a une productivité variable (Taylor : l'homme a tendance à réduire son temps de travail par la flânerie. [...]
[...] o Mill a induit l'idée d'une croissance continue et dynamique (Vernon, Schumpeter) : quand on allonge le cycle de vie du produit, on augmente la rentabilité. Une entreprise qui maîtrise sa technologie peut faire des innovations pour allonger la durée de vie du produit et ainsi augmenter la rentabilité. La théorie de cet auteur est au centre de notre actualité. Elle pose un problème : il a évoqué les limites de son modèle il y a 150 ans et pour l'instant personne n'a trouvé de solution. [...]
[...] La place des groupes mafieux : Dans l'économie chinoise, il existe une partie qui ne s'explique pas ou mal, l'argent présent à HKg appartient en partie à l'économie mafieuse. Cet argent investi sur le territoire est blanchi puis permet à ses groupes d'accroître leurs pressions sur le monde politique et dominer une partie croissante de l'économie financière Le monde politique semble passif face à cette nouvelle puissance émergente, il semble faire partie du paysage politique. LE CANADA : LA REGLE DES EQUILIBRES De respecter les grands équilibres : Commerciales : taux de chômage, déficit public La politique économique canadienne est volontariste. [...]
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