C'est à cause du développement des échanges internationaux qu'il a fallu implanter des succursales et contrôler le financement des activités commerciales à grande échelle. Dès le XIIIe siècle, apparition de sociétés en commandite : les propriétaires de l'entreprise sont responsables devant les créanciers sur leur fortune personnelle. Certains propriétaires ne se sont engagés que sur le capital investi dans l'entreprise ...
[...] Ces firmes sont plus ou moins intégrées. On parle d'intégration totale quand la maison mère possède d'une filiale. Dans la théorie économique : opposition entre relations de marché (contrat) et formes institutionnalisées d'accords (stable et moins souple). Ronald Coase : essayer d'expliquer l'existence des entreprises. Les néoclassiques : sur un marché, rien n'est institutionnalisé, tout se fait au jour le jour. L'offre et la demande s'ajustent en fonction du prix est instantanément. Alors qu'une entreprise est le contraire du marché : c'est une institution, elle fonctionne sur la durée. [...]
[...] Malgré les critiques sur les firmes multinationales, leur extension semble plutôt favorable à la croissance mondiale globale. Critique 1 : les firmes s'implantent la où il y a des marchés solvables/débouchés. Excepté les firmes primaires qui ne tirent pas la croissance où elles sont implantées. Aujourd'hui les firmes s'implantent la où il y a 1,5 milliards de personnes solvables. Cela signifie qu'il y a milliards de personnes qui vivent dans des zones non-attractives, ces zones cherchant attirer les IDE, il faut redouter une surenchère à la baisse des coûts de production, car les firmes représentent leur seule chance de développement. [...]
[...] Les firmes doivent le faire avant les autres car il y a la concurrence. Sa stratégie conduit parfois à des Green Field Investments et plus souvent par des fusions-acquisitions transaction. Les firmes cherchent augmenter leur taille pour bénéficier de rendements d'échelle croissants. Les marchés sont le plus souvent oligopolistiques. Depuis les années 80 les marchés sont libéralisés. De beaucoup de pays des monopoles existaient était protégé, on s'est efforcé à les démanteler. On encourage l'arrivée de la concurrence pour rétablir la concurrence pure et parfaite. [...]
[...] En 2002 en France, il y a 25 millions d'emplois dont 3,7 millions d'emplois dans l'industrie manufacturière. Les services représentent désormais 15 millions d'emplois et le commerce 3,5 millions. En Europe : un seul pays est désindustrialisé : les services financiers, le commerce et l'hôtellerie représente de l'emploi et du PIB. L'Allemagne s'efforce de préserver une spécialisation industrielle au prix de fortes concessions salariales. Idée : trouver les activités industrielles donnant des débouchés élevés. La préservation d'emplois passe par la création d'emplois de service peu qualifiés. [...]
[...] Le seul frein était pendant les années 82-85 avec la crise du tiers-monde. Pourquoi ? quand il y a une crise : on se dit qu'il sera peut-être plus facile de trouver des débouchés dans un pays moins touché par la crise. On cherche à faire des économies sur les coûts de production. développement des IDE depuis le milieu des années 80. On observe une croissance spectaculaire des IDE depuis 1985. Cela est dû à la vague de libéralisme économique, qui pousse un financier des activités économiques par l'intermédiaire des marchés financiers plutôt que par les banques (générateurs de création monétaire et d'inflation). [...]
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