Commerce international, échanges internationaux, libre échange, économie internationale, GATT, OMC
L'économie internationale est une discipline au sein de la science économique.
Le fait de commercer non pas avec des compatriotes mais avec des étrangers, des voisins, ça implique des différences.
Les voisins sont des Etats souverains, indépendants, ils sont caractérisés par une culture particulière, des gouts, des aptitudes particulières.
Ces Etats poursuivent leurs propres intérêts (politique, commerce, fiscalité différents)
Ils ont leurs propres modalités, réglementation, chaque pays est un lieu spécifique d'exercice du pouvoir a l'intérieur de ces frontières. Les diverses modalités d'intervention vont avoir des influences sur les échanges internationaux. De fait, l'éco internationale devient un champ de l'analyse éco, des lors que les pays deviennent interdépendant. L'économie internationale va étudier le processus d'allocation des ressources rares pour satisfaire les besoins humains à l'échelle internationale.
Il y a 3 domaines dans l'économie internationale: le commerce international, la production internationale, et la finance internationale.
L'économie internationale analyse les causes, les structures, le volume du CI, elle analyse les gains du CI, elle tente de répondre a plusieurs questions (les spécialisations, les choix, les gains, les politiques…)
[...] La seconde catégorie repose sur des calculs de soldes commerciaux et sont dénommés indicateurs de contribution au solde. Pourquoi utiliser plusieurs indicateurs? La raison principale tient à leur complémentarité. Les indicateurs à base de ratios mesurent uniquement les spécialisations créées par les échanges inter-branches. Ce type d'échanges est fréquent entre pays de niveau de développement différents : par exemple, les échanges de biens d'équipement et de matériel de transport des pays riches contre les matières premières et les produits semi-finis des pays pauvres. [...]
[...] L'échange est générateur de bien, puisque la production se répartie entre les 2 pays. Il y un gain réciproque pour les 2 pays. En théorie l'Etat ne doit pas intervenir dans le règlement des échanges entre les pays (main invisible qui doit en théorie se charger d'allouer les ressources dans chaque pays). Théorie de la main invisible : Selon Adam Smith, l'individu ne " cherche que son propre gain " mais par son action personnelle et isolée il contribue à une fin qui le dépasse, l'intérêt général. [...]
[...] Pour les activités élues cela signifie que l'économie va devenir exportatrice nette et pour les autres activités elle sera au contraire importatrice nette. On privilégie certaine production pour l'exportation mais on accepte également d'importer les biens pour lesquels l'économie n'est pas assez compétitive: on déconnecte volontairement la structure nationale de l'offre et de la demande. Dans le contexte de condition économique qui évolue très fortement, les spécialisations contemporaines deviennent un choix sans arrêt renouvelé. Un pays peut donc avoir plusieurs formes de spécialisation. [...]
[...] Le CI croit plus vite que la production mondiale. L'interdépendance est de plus en plus forte. La croissance des pays industrialisés est plus forte que celle des pays en voies de développement jusqu'au choc pétrolier 73_79. Les pays émergeants vont voir leur rythme de CI s'élever et être supérieur aux Pays industrialisées. Les pays émergeants rattrapent les pays industrialisés mais les pays industrialisés restent meneurs dans le Commerce International La répartition des échanges par type de produit est très instructive : DIT division international du Travail, elle reflète le niveau de développement des pays ( les PVD sont à l'origine de 2/3 d'exportations des produits primaires et des exports des Pays indus sont des produits manufacturés. [...]
[...] Ces théories néo factorielles apportent de nouvelles distinctions entre travail qualifié et le non qualifié. Travail qualifié, sous entendu, du capital humain. Il reconnait que les industries exportatrices US employaient plus de travailleurs qualifiés que les industries importatrices. Le capital humain va devenir un des éléments fondamentaux des avantages comparatifs. L'éducation est considérée comme un facteur primordial dans l'industrialisation des pays et dans l'évolution des avantages comparatifs. Ces avantages évoluent en fonction de l'investissement du pays, ils ne sont pas figés. [...]
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