libre-échange, commerce international, FMN, protectionnisme, GATT
Pendant deux siècles, des périodes de protectionnisme et de libre-échange se sont succédés. Mais avec le GATT et l'OMC, le libre-échange va s'imposer.
Le rôle du CI n'est pas perçu de la même manière par tous les pays au niveau de la croissance.
Le CI s'est accru plus rapidement que la production mondiale. Selon P. Léon, le CI aurait été multiplié par 10 pendant le XIXème. Selon Kuznets, le volume du CI aurait été multiplié par 50 entre 1800 et 1914.
En moyenne, le CI s'est accru à un rythme supérieur à 5%/an, mais ce rythme est resté corrélé aux cycles économiques.
[...] Malgré tout, elles apparaissent comme des acteurs clé pour la création de flux d'échanges et le développement des pays. Conséquences pour les pays capitalistes développés La multinationalisation a des effets économiques et sociaux sur les pays développés notamment sur leur BDP, leur compétitivité et sur l'emploi et la montée des inégalités : BDP : IDE sortant ( ( des flux d'exportation + ( des flux d'importation ( dégradation du compte financier ( affaiblissement de la monnaie (40 à 50% des importations américaines sont des réimportations) A plus long terme, cet effet est ambigu car les flux entrants sont compensés par les entrants. [...]
[...] Définition Les IDE peuvent apparaître de 2 manières : - croissance interne entre la maison mère et ses différents établissements installés à l'étranger - croissance externe (fusion-acquisition). Les IDE ne sont pas uniquement liés aux délocalisations. Evolution du processus de multinationalisation 1914 : stock d'IDE de 14 milliards de $ : Du XIXème à l'entre-2 guerre, l'essentiel des IDE venait des pays développés et étaient implantés dans les pays neufs, au Moyen-Orient, et dans les colonies. Depuis les 80, on assiste à une explosion d'IDE grâce aux 3D. Ils ont permis de limiter certaines restrictions aux flux d'IDE. [...]
[...] Les USA étant la première nation commerçante avant le Royaume Uni. Avec en 90, les exportations françaises vont représenter la part la plus élevée du XXème siècle. Mais au début des 2000, cette part n'est plus que de 5%. Des 50 aux 2000, le solde commercial est caractérisé par l'alternance de phases d'excédent et de déficit. Ainsi, le solde commercial français apparaît lié à la conjoncture. (Déficits liés au conflit coréen, à la crise de 68, aux chocs pétroliers ) Le déficit des 80 a revêtu une dimension structurelle du fait du déficit industriel. [...]
[...] Théorie des avantages absolus d'A. Smith Smith insiste sur l'importance de la division du travail au sein de la manufacture, de la nation et entre les nations, comme source d'enrichissement. Selon lui, les pays ont un intérêt à se spécialiser dans les productions pour lesquelles ils ont un avantage absolu. (Meilleur productivité en fonction des matières travaillées. Le prix repose sur la valeur travail) La théorie des avantages absolus repose sur l'hypothèse de concurrence pure et parfaite, et donc sur la mobilité des facteurs au niveau national et international. [...]
[...] A partir de ça, la France a un handicape : - des dépenses en R&D de moins de du PIB pour les pays scandinaves) - une moindre attractivité avec plus de 50% (plus de 250% pour la Suède) ( Avec cette approche, la spécialisation s'inscrit dans une perspective dynamique et la théorie des avantages comparatifs retrouve un intérêt dans la mesure où les avantages comparatifs + gains associés se renouvellent en fonction de l'effort d'innovation. Krugman montrait aussi que l'insertion dans la DIT est de nature à favoriser les efforts d'investissement. [Schémas en vole d'oies sauvages de K. Akamastu] Les théories néo-factorielles et néo-technologique sont complémentaires (innovation et travail qualifié) et complètent les théories traditionnelles. [...]
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