Les deux sujets principaux qui ont dominé le sommet UE/Brésil étaient « une nouvelle gouvernance mondiale » pour collaborer entre pays pauvre et pays riche et le rejet du « protectionnisme ». Lors de ce somment ont été réunis M. Sarkozy, président brésilien Luis Inacio Lula da Silva ainsi que le président de la Commission Européenne José Manuel Barroso dans le but d'élaborer un plan très ambitieux. Ils ont adopté le plan conclu a Lisbonne pour pouvoir consacrer une importance politique et économique au Brésil.
MM. Sarkozy et Lula se sont fixé un objectif : « travailler ensemble ». Ils veulent une entente entre le Brésil et L'Europe pour aider le Brésil à sortir de cette crise. Ils ont aussi revu des négociations commerciales. Un sujet qui a été très évoqué aussi été l'ajournement de la libération du commerce. Ils ont affronté ce sujet pour faire face au protectionnisme qui, en temps de crise, ne résoudra aucun problème.
Pour cela ils attendent aussi l'aide du président américain Barack Obama pour prendre des initiatives et essayer de créer un chemin plus facile pour sortir de cette crise. “Nous allons travailler d'arrache pied sur la priorité commune Brésil/UE qui est la préparation du sommet de Londres du 2 avril.
[...] Un grand du monde d'après M. Sarkozy, qui lui souhaite avoir un plus grand pouvoir sur la gestion économique et politique mondiale. M. Sarkozy est arrivé à Rio de Janeiro avec un groupe d'environ trente PDGs français de grosses sociétés françaises dans les domaines militaire, aérospatial et construction. Le chef de l'Etat français a signé plusieurs contrats soi- disant de très haute importance au Brésil. Selon un magazine économique, les contrats contenaient des montants de 8,6 milliards d'euros de ventes d'armes et de 5,2 milliards d'euros pour des sous-marins et des hélicoptères. [...]
[...] En revanche, le Brésil se doit d'augmenter sa performance au niveau du PIB car elle a encore un écart à compléter avec la zone OCDE pour se montrer encore plus fiable. Pour tirer pleinement avantage de la stabilisation en termes d'accélération de la croissance, le Brésil devra consolider l'ajustement macroéconomique, stimuler l'innovation dans le secteur des entreprises et renforcer l'utilisation de la main-d'œuvre. Consolider l'ajustement macroéconomique La politique budgétaire est restée saine et la gestion de la dette publique a été exemplaire. La politique monétaire a permis un recul durable de l'inflation, stabilisant ainsi des anticipations. [...]
[...] Ils ont aussi revu des négociations commerciales. Un sujet qui a été très évoqué aussi était l'ajournement de la libération du commerce. Ils ont affronté ce sujet pour faire face au protectionnisme qui, en temps de crise, ne résoudra aucun problème. Pour cela ils attendent aussi l'aide du président américain Barack Obama pour prendre des initiatives et essayer de créer un chemin plus facile pour sortir de cette crise. “Nous allons travailler d'arrache-pied sur la priorité commune Brésil/UE qui est la préparation du sommet de Londres du 2 avril. [...]
[...] Une loi qui a pu être adoptée en 2004. Cette loi veut conserver un taux de sécurité très élève pour les partenaires privés qui veulent financer des projets conséquents ou prendre en main le financement de grandes infrastructures qui sont nécessaires au pays. Des systèmes de paiements sont prévus pour payer les entreprises par la puissance publiques qui détiennent un degré élevé de priorité des garanties (fonds fiduciaires). Grâce aux appels d'offres, aux concessions de service public et la responsabilité budgétaire des gouvernements décentralisés, les projets de PPP ont pu seulement voir le jour en 2007, seulement 3 ans après le vote. [...]
[...] Le cycle d'assouplissement des conditions monétaires s'est interrompu en septembre après une baisse cumulée de 500 points de base du taux directeur en 12 mois. L'affaiblissement continu des résultats budgétaires est imputable à des facteurs conjoncturels, à la hausse inexorable des dépenses récurrentes (notamment de la masse salariale de l'administration centrale) et aux mesures discrétionnaires qui ont été prises en réponse à la crise mondiale. Il est donc peu probable que l'objectif budgétaire de fin d'année soit atteint. Il serait souhaitable de rapporter judicieusement les mesures de relance à compter de début 2010 si, comme escompté, la reprise se confirme franchement. [...]
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