L'espace urbain peut être considéré comme un reflet des priorités de la société, surtout lorsque celle-ci est composée d'individus vivant en grande majorité dans les villes, métropoles ou de moyenne envergure.
[...] », Géographie, économie, société, vol. vol no pp. 329-350. Levy, Albert. « Quel urbanisme face aux mutations de la société postindustrielle ? », Esprit, vol. novembre, no pp. [...]
[...] novembre 2009, no pp. 83-88. [...]
[...] Les parcs ont une place particulière pour la bourgeoisie urbaine, ces derniers représentent l'échappatoire symbolique du cadre renfermé de la sphère urbaine, une fenêtre vers le monde rural idyllique et romantisé par les individus qui ne peuvent pas se permettre les moyens de quitter temporairement la métropole, voire de s'installer durablement dans ce qui deviendra très vite l'espace péri-urbain. La ville industrielle comme ses itérations historiques passées, est également marquée par le type de matériaux utilisés pour construire les nouveaux bâtiments qui en symbolisent les valeurs et l'image que l'ère souhaite projeter aux contemporains et aux générations futures. Le capitalisme industrielle a élevé les produits manufacturiers au rang de symbole de puissance économique et de prospérité, et l'acier en est un exemple pertinent. [...]
[...] Les statistiques avancées par Lamboley & James pour la région d'Île-de- France suggèrent que la majorité des déplacements motorisés se font de banlieue à banlieue. Parmi les déplacements motorisés sont réalisés par des véhicules légers particuliers, suggérant que les habitants de banlieue formulent une préférence plus appuyée pour des horaires flexibles, et donc des infrastructures routières adaptées à leur besoin de transport. A contrario, Paris intra-muros a un faible taux de motorisation, puisque la majorité des déplacements dans Paris et avec la banlieue sont réalisé par le biais des transports en commun, et 54% des ménages parisiens ne disposent de véhicule. [...]
[...] La formulation de politique d'urbanisme peut aller plus loin pour des thématiques dépassant le cadre du transport. La réalité mixte, telle que définie par Basile & Terrain (2009)[15] comme les nouvelles technologies qui permettre de mettre en correspondance des éléments réels et virtuels. L'enjeu de la réalité mixte est donc d'augmenter les éléments numériques - par exemple les simulations sur ordinateur- d'éléments réels comme les plans urbains, des photos et images de façades d'immeubles et de bâtiments. En politique urbaine, la réalité mixte permet de donner un corps aux données compilées par le décideur public, et permettent d'incorporer, parfois en temps réel, les interactions des usages tout en évaluant l'évolution de ces dernières. [...]
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