SES Sciences Économiques et Sociales, politique économique, redistribution, fiscalité, impôt, prestations sociales, pouvoirs publics, Keynes, politique monétaire, banque centrale, croissance économique, zone euro, crise financière, dépression économique, relance budgétaire, PIB Produit Intérieur Brut
Ce document propose un devoir corrigé de SES s'adressant à des élèves de Première.
[...] On observe que les deux banques centrales ont adopté des politiques monétaires similaires, mais pour des raisons différentes jusqu'à 2009. Au début du millénaire, la FED a considérablement réduit son taux directeur de en 2000, à en 2003-2004, reflétant sa volonté à soutenir la croissance de l'économie, notamment en fournissant les liquidités pour le marché immobilier aux Etats-Unis. La BCE quant à elle a été plus prudente durant les années 2000-2002, à cause de la mise en place de l'Euro. [...]
[...] Dossier documentaire En situation de dépression économique, le secteur public intervient en relançant la demande domestique afin d'augmenter la croissance du PIB. En effet, l'augmentation de la dépense publique se traduit par une demande supplémentaire adressée aux entreprises. On peut donner comme exemple le plan d'investissement de 26 Milliards annoncé par le Président de la République en 2009. Le but de ce plan d'investissement est d'adresser des commandes à différentes entreprises pour construire et réhabiliter des infrastructures, des équipements et des universités. [...]
[...] Politiques économiques françaises Mobilisation des connaissances Grandes formes de redistribution : impôts et fiscalité, notamment l'impôt sur la fortune. Et prestations sociales, comme l'assurance-chômage, le RSA, la sécurité sociale ou les APL (aide pour le logement) on peut également considérer le soutien des prix agricoles comme une politique de redistribution en faveur des agriculteurs. Les pouvoirs publics cherchent à minimiser les inégalités de revenu entre les ménages. L'État oriente donc son allocation de redistribution vers les contribuables qui ne sont pas assujettis à l'impôt sur le revenu, les ménages et individus qui ne disposent pas de revenus imposables sont plus susceptibles d'être en situation de pauvreté. [...]
[...] Une partie de cette baisse peut être expliquée par le déclin de l'activité économique, mais également par un allègement des impôts. En baissant ses taxes, l'État créé des revenus supplémentaires auprès des contribuables (entreprises et ménages) qui augmentent leurs dépenses, et participent ainsi à créer de la croissance. La politique de relance budgétaire génère inévitablement des déficits budgétaires importants, qui sont financés par de la dette, ce qui explique l'évolution rapide du ratio de la dette publique rapportée au PIB, qui passe de 64% en 2007, à 82% en 2010. [...]
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