Macroéconomie selon les keynésiens, théorie de l'équilibre général, offre et demande, économie de troc, théorie néoclassique, demande de monnaie, BCE Banque Centrale Européenne, incertitude économique, thésaurisation
Dans la théorie de l'équilibre général, la loi de l'offre et de la demande stipule que lorsqu'il y a une variation de l'offre, les prix s'ajustent pour équilibrer l'offre et la demande sur tous les marchés. Dans une économie de troc pour deux biens, il y a un lieu d'échange, pour trois il y en a deux et pour quatre biens il y a six lieux d'échange. Dans une économie de troc en équilibre général il y aurait un commissaire-priseur qui proposerait des prix et les agents sous l'hypothèse d'informations parfaites qui modifieront leur prix.
[...] Les crédits font les dépôts chez les keynésiens. Cela signifie que les banques vont se financer auprès de la banque centrale. À partir de ce financement, les banques vont octroyer des crédits aux ménages et en retour les ménages vont déposer cette somme à la banque. La demande chez les keynésiens : Keynes intègre complètement la monnaie dans le système économique. Il ne dissocie pas la sphère réelle de la monétaire. Les trois motifs de la préférence pour la liquidité sont à l'origine de la théorie de la demande de monnaie ( précaution, transaction, spéculation). [...]
[...] Il va y intégrer les apports keynésiens. Dans l'ancienne théorie, il s'agissait uniquement des actifs financiers et la vitesse de circulation de la monnaie était constante. Dans la nouvelle théorie, tous les actifs patrimoniaux sont considérés. Friedman aboutit à une conclusion qui ôte de la théorie précédente la constance de la vitesse de circulation. Il considère plutôt qu'elle est stable, car dépend d'un petit nombre de variables. Les actifs patrimoniaux sont des actifs réels composés des biens de consommation et de production, des actifs financiers (titres: actions et obligations), des actifs humains (potentialité humaine) et la monnaie. [...]
[...] La prime de liquidité dédommage le prêteur de l'abandon de la garantie. C'est le prix des avantages cédés à autrui. Pour Keynes le taux d'intérêt de la monnaie n'est ni la rémunération du capital ni le prix de l'épargne, mais le prix de la liquidité ; c'est à dire le prix de la monnaie en monnaie. Le rôle des marchés financiers consiste à drainer l'épargne ou le capital auprès des agents qui ont des capacités de financement vers ceux qui ont des besoins de financement. [...]
[...] La macroéconomie selon les keynésiens I. La théorie de l'équilibre général Dans la théorie de l'équilibre général, la loi de l'offre et de la demande stipule que lorsqu'il y a une variation de l'offre, les prix s'ajustent pour équilibrer l'offre et la demande sur tous les marchés. Dans une économie de troc pour deux biens, il y a un lieu d'échange, pour trois il y en a deux et pour quatre biens il y a six lieux d'échange. Dans une économie de troc en équilibre général il y aurait un commissaire- priseur qui proposerait des prix et les agents sous l'hypothèse d'informations parfaites qui modifieront leur prix. [...]
[...] La monnaie L'offre de monnaie vient de la banque centrale (Europe BCE). Ce sont les autorités monétaires qui décident de mettre en circulation dans l'économie une certaine quantité de monnaie nécessaire à l'activité économique. Compte tenu de ce rôle d'indépendance de la banque centrale à l'égard de l'émission de monnaie, on dit que l'offre de monnaie est exogène. La demande de monnaie provient des agents non financiers, elle est exprimée à partir de l'équation NC de Cambridge. Elle permet de déterminer le niveau général des prix et la demande de monnaie s'écrit : Md=hPy avec h le taux de liquidité, y le revenu réel et p le niveau général des prix h=1/V avec v la vitesse de circulation de la monnaie on en tire : P*=Mo/h * avec * l'équilibre En conclusion on voit que dans le modèle NC la monnaie ne sert qu'à réaliser l'équilibre du niveau général des prix. [...]
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