Grand oral, disparités de genre, travail, chef d'entreprise, pyramide de Chauvel, sociologie, sexisme, stéréotypes, PME Petites et Moyennes Entreprises, méritocratie, discrimination de genre, microéconomie, plafond de verre
Aujourd'hui, je choisis de me pencher spécifiquement sur la catégorie socioprofessionnelle des ACCE, dont font partie les chefs d'entreprise. Cette catégorie englobe les artisans, les commerçants et les chefs d'entreprise, considérés comme indépendants, car ils ne sont pas salariés. Ainsi, ils se situent en marge de la pyramide de Chauvel. Je m'intéresse particulièrement aux chefs d'entreprises de PME. Elles sont des entreprises qui occupent moins de 250 personnes et qui ont un chiffre d'affaires annuel inférieur à 50 millions d'euros ou un total de bilan inférieur à 43 millions d'euros. Elles représentent environ 99 % des entreprises en France. Cela inclut à la fois les petites entreprises (PE) et les moyennes entreprises (ME). Les PME sont responsables d'une grande partie de l'emploi en France. Elles représentent environ 55 % de la valeur ajoutée brute générée par l'ensemble des entreprises. Ces statistiques soulignent l'importance vitale des PME dans l'économie.
[...] Nous savons tous que les inégalités scolaires existent et sont le résultat d'investissements familiaux, de stratégies scolaires théorisé par monsieur Bourdon et socialisation genrée. L'École est une institution qui est déterminante pour beaucoup de destins individuels, de futures cheffes d'entreprises. III. Petites entreprises et direction collégiale + l'entreprise est petite + il y a de chances de retrouver une femme à sa tête, + direction collégiale Les femmes sont plus souvent que les hommes à la tête de micro-entreprises, n'employant qu'elles-mêmes : contre des hommes. [...]
[...] Elles organisent des campagnes de sensibilisation et publient des études et rapports sur les inégalités de genre au travail. Les femmes sont souvent confrontées à la double charge due à une répartition des tâches toujours inégalitaire, c'est-à-dire la nécessité de jongler entre les responsabilités professionnelles et domestiques. Cette pression peut limiter leur disponibilité pour des rôles exigeants et leur mobilité géographique, souvent requise pour les postes de direction. Les femmes entrepreneurs rencontrent souvent plus de difficultés à obtenir des financements pour leurs projets. [...]
[...] Les déterminants sociaux : regards croisés La socialisation genrée est le processus dans lequel les filles et les garçons intériorisent, apprennent des manières d'être, de faire, différentes selon leur sexe. Les stéréotypes de genre sont des croyances largement répandues sur les rôles et les compétences supposées des hommes et des femmes. Ils sont alors intériorisés et se répercutent de manière logique sur le système éducatif et sur le monde du travail en particulier. Par exemple, on peut penser que les hommes sont plus ambitieux ou mieux adaptés aux rôles de leadership. Ces stéréotypes-ci peuvent influencer les décisions de recrutement, souvent de manière inconsciente, défavorisant ainsi les femmes. [...]
[...] Environ 27% des femmes assurent être devenues chef d'entreprise via une promotion interne contre seulement via un recrutement externe, qui a pourtant bénéficié à 14% des hommes chef d'entreprise. Cela démontre donc que les femmes ont plus de chances de devenir chef d'entreprise en gravissant les échelons petit à petit. Conclusion Malgré ce constat désolant, des politiques d'inclusion sont mises en place pour établir un semblant d'égalité de chances entre femmes et hommes. De plus, les jeunes sont de plus en plus inclusifs. [...]
[...] Les femmes ont-elles les mêmes chances que les hommes de devenir cheffes d'entreprises ? - Oral de baccalauréat Introduction Accroche : Aujourd'hui, je choisis de me pencher spécifiquement sur la catégorie socio-professionnelle des ACCE, dont font partie les chefs d'entreprise. Cette catégorie englobe les artisans, les commerçants et les chefs d'entreprise, considérés comme indépendants car ils ne sont pas salariés. Ainsi, ils se situent en marge de la Pyramide de Chauvel. Je m'intéresse particulièrement aux cheffes d'entreprises de PME. Elles sont des entreprises qui occupent moins de 250 personnes et qui ont un chiffre d'affaires annuel inférieur à 50 millions d'euros ou un total de bilan inférieur à 43 millions d'euros. [...]
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