En 1776, le philosophe moral Adam Smith a publié son traité majeur de la philosophie sur "Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations": Un livre monumental, divisé en 5 "livres" de plus que 1000 pages qui a constitué un tournant dans l'histoire de la pensée économique. Depuis, l'Ecossais Smith représente le père de la science économique classique - soit de quelque sorte un patron pour les supporteurs d'une économie libérale avec qui on associe en général trois termes; la main invisible, la répartition du travail et l'économie libérale. Dès qu'il y a occasion de former une opposition contre la politique des impôts, la douane et promouvoir un déchaînement de l'économie, ce sont souvent des citations pointues du père libéral originaire Smith qui sont fortement proclamées: "Les grandes nations ne perdent jamais à cause d'un comportement privé mais en perdent par celui des établissements étatiques" , a-t-il proclamé fréquemment. Mais sont ses anciennes démarches encore valables dans un monde postindustriel et marqué par des transformations de la mondialisation jamais rencontrées dans le passé? Je vais y retourner dans la deuxième partie de mon travail où j'examinerai le sujet de libre échange d'un point de vue moderne avancé par Paul Krugman. Mon objectif sera donc premièrement, de donner une image générale sur les aspects principaux de la "Richesse des nations" et d'autre part, tirer un lien jusqu'à aujourd'hui à l'exemple du libre échange.
Dans la première partie, j'aborderai l'environnement et l'ouvrage lui-même d'une manière thématique. Malgré de telles prises de position libérales mentionnées ci-dessus, il est souvent négligé que Smith ait été un philosophe de morale de premier rang qui a fortement influencé le XVIII siècle avec ses théories sur la nature des humains en formulant des idées sur la science économique.
[...] En effet, l'offre tend naturellement à égaliser le niveau de la demande effective. En cas d'excédent de l'offre par rapport à la demande, lé "prix du marché" baisse et les salaires ou les profits ou les rentes devront diminuer aussi. Si ce sont les salaires qui diminuent, les ouvriers offrent moins de travail; Si ce sont les profits, les entrepreneurs engageront moins de capitaux; Si ce sont les rentes, les propriétaires utiliseront moins leur terre. Dans tous les cas, l'offre diminuera et le prix de marché reviendra au niveau du "prix naturel". [...]
[...] The first is, when some particular sort of industry is necessary for the defence of the country. The defence of Great Britain, for example, depends very much upon the number of its sailors and shipping. The second case, in which it will generally be advantageous to lay some burden upon foreign for the encouragement of domestic industry is, when some tax is imposed at home upon the produce of the latter."(ch2, livreIV) Il s'avère donc que la discussion n'est pas simplement résolue, ni à l'heure actuelle ni dans le temps de Smith. [...]
[...] La montant d'importation correspond en tout cas à la différence entre la quantité voulu (D2 ou D1) et la quantité offrit (S2 ou S1) par les producteurs. Au prix P1, les consommateurs de A demandent D1, mais les producteurs offrent seulement S1, la distance entre D1 et S1 est en conséquence la demande d'importation. Cette demande diminue car le prix a augmenté jusqu'à P2, un niveau ou les producteurs offrent moins (S2). La courbe d'offre d'exportation de la courbe se comporte inverse. A P1, les producteurs de pays B offrent S1 mais les consommateurs de pays B demandent seulement D1. [...]
[...] Il faut ajouter que cet effet d'une réduction du prix mondial dépend à la taille du pays et son part de la demande totale. Pourtant, dans ce cas ici on suppose que le pays A possède un certain pouvoir sur le marché mondial, on peut imaginer, par exemple, les Etats-Unis. L'effet est illustré au-dessous. marché national marché mondial marché d'Etranger Un droit de douane établie par A augmente le prix -artificielle- dans A et baisse le prix dans B. Cet effet est moins fort en cas d'un petit pays. [...]
[...] Même s'il y a un secret de production, ce secret va finalement n'est plus être gardé et l'avantage concurrentiel sera donc éliminé. En concluant, à long terme, seulement les biens sont produits qui atteindre un prix de marché supérieur ou au moins égal au coût de production. Tous se déroulent sous la pouvoir de la "main invisible" qui conduit les décisions individuelles d'un principe qu'ils obtiennent une égalisation et ainsi qu'une augmentation de la richesse. Et le plus fort la concurrence, le plus fort sera cette force d'égaliser. [...]
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