La FDIC a pour mission de promouvoir et de préserver la confiance dans le système financier américain. Elle assure les dépôts, bancaires et d'épargne, du déposant à hauteur de $100 000 contre le risque de faillite de l'institution financière gérant ces dépôts. La FDIC administre deux fonds d'assurance des dépôts : Le Bank Insurance Fund (BIF) qui couvre essentiellement des dépôts bancaires et le Savings Association Insurance Fund (SAIF) qui assure essentiellement des dépôts d'institutions d'épargne (pour des raisons historiques, une partie des dépôts de certaines institutions d'épargne est couverte par le BIF, et une partie des dépôts de certaines banques commerciales est couverte par le SAIF).
[...] Ce système de capitalisation du fond permet de faire porter le financement du fond par les grandes banques. La FDIC est autorisée à émettre des bons et autres obligations à hauteur de $ 975 millions. Pour faciliter les fusions entre banques, la FDIC est aussi autorisée à emprunter, à faire des prêts, à acheter des actifs et à se porter garant. De 1934 à 1941, la FDIC a géré 370 faillites bancaires pour des pertes totales s'élevant à $ 23 millions. [...]
[...] Cela permettra aux entités exposées de porter les pertes pendant une décennie allant jusqu'à représenter de la totalité des prêts PVD. L'échelonnement de la dette sera conclu par un remboursement partiel du FMI et la différence sera supportée par les actionnaires de ces entités, mais aucune grande banque américaine n'a fait faillite à cause d'un portefeuille PVD, la stabilité a été préservée. Le débat sur les banques Too-Big-To-Fail[7] commence vraiment avec la faillite de la Continental Illinois, l'une des 10 plus grandes banques américaines disposant de 45 milliards de dollars d'actifs. [...]
[...] Les banques changent la nature de leurs revenus qui deviennent moins averses au variations des taux d'intérêts. En 1991, les revenus générés par les produits financiers ne dépendant pas de l'intérêt, représentent des revenus générés sur les taux. Ils représentent en 1997. Les banques vont assainir leur actif, améliorant les taux de remboursement des prêts. Le retournement du cycle est visible dans la diminution du nombre de faillites. En 1992, il y a encore 127 faillites, soit un déboursement de la FDIC de $ 3.7 Milliards. [...]
[...] Cette somme est estimée suffisante pour faire face aux crises à venir, et le congrès décide de voter le remboursement des $ 150 millions versés à la création du fonds. Les banques obtiennent des abattements sur les cotisations, abattements qui atteignent du montant initialement dû dès 1960. Malgré ces restrictions, le fond continue de croître et gère 4.4 milliards de dollars à la fin des années 70. Les intérêts perçus par le fond dépassent les cotisations en 1961 73.9 millions contre $ 73.4 millions). [...]
[...] On divise ensuite la surface sélectionnée en sous rectangles auxquels on associe à chacun le couple correspondant. Ne reste plus qu'à calculer pour chaque rectangle la valeur z(a,c). La solution cherchée est le rectangle pour lequel est minimum. Ce calcul numérique est très coûteux en ressources car le calcul de l'intégrale entre Ki et Ki+Bi prend un certain temps si l'on désire une bonne précision. Pour mener à bien ces calculs, on a commencé par faire un calcul grossier sur la surface définie plus haut puis à la vue des résultats, on a recommencé les calculs sur une surface plus restreinte. [...]
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