En cas d'excès de demande, la hausse des prix décourage certains acheteurs.
En cas d'excès d'offre, selon la théorie, le mécanisme est systématique.
Mais la baisse des prix n'est pas toujours facile à mettre en oeuvre pour différentes raisons :
- Parfois le prix du bien constitue l'unique revenu de l'agent économique.
- Les prix sont parfois réglementés.
- Les coûts ne baissent pas forcément comme les prix. Et donc une baisse des prix entraine une baisse des marges.
- Lorsque que la demande est inélastique, une baisse des prix est peu efficace (...)
[...] D'une part parce que l'on affaire à un marché de clientèle. Et d'une autre part, une hausse des taux peut conduire à un phénomène d'anti sélection, c'est-à-dire d'attirer les emprunteurs à prendre des risques inconsidérés. La titrisation : ce sont des produits financiers qui sont vendus à d'autres établissements financiers. Les banques américaines, ne savant plus à qui prêter ils vont prêter à des ménages à qui ils ne prêtaient pas habituellement, des ménages NINJA, qui n'ont pas de revenu, travail, patrimoine. [...]
[...] - La présence de syndicats qui luttent contre la baisse des salaires. - Les allocations chômages qui permettent aux salariés de refuser des salaires qui sont peu rémunérés. - Les baisses de salaires sont considérées comme injustes. La conséquence c'est que le marché du travail a des salaires peu flexibles, où la rigidité est la règle. Outre les augmentations de Pigou, la théorie économique contemporaine du marché du travail montre que la baisse des salaires réels est difficile. Elle met en avant d'autres arguments que ceux de Pigou. [...]
[...] La théorie des contrats implicite parle de contrat moral qui empêcherait la baisse de salaire. Les entreprises en cas de récession ne baissent pas les salaires pour inciter les salariés à réaliser des gains de productivité (le but étant d'attirer les salariés les plus efficaces). Le marché des changes : Le marché des changes s'exprime peu par des motifs de commerce international. Ceux qui interviennent sur ce marché des changes, c'est les touristes, les entreprises, les Etats, les investisseurs, les spéculateurs. [...]
[...] Le plus souvent pour un ou deux jours. C'est en fonction des taux d'intérêt sur ce marché que vont évoluer ensuite les taux fait par les banques aux autres agents économiques. o Le marché des TCM : en 1985, le gouvernement a souhaité donner aux autres agents économiques la possibilité de s'endetter à court terme sans passer par les banques. C'est la désintermédiation. Dans ce cadre a été crée le marché des titres de créances négociable. On été crée des produits financiers que les entreprises peuvent émettre pour emprunter de l'argent sur ce marché, ce sont des billets de trésorerie. [...]
[...] C'est la bource, elle centralise ses échanges pour les entreprises les plus grandes. Le développement de ces marchés à partir des années 80 a été un autre aspect de la désintermédiation. C'est-à-dire que les entreprises pour emprunter à long terme, au lieu d'aller voir les banques, elles se sont mises à émettre des obligations, des actions. C'est un marché d'enchère. Le marché du crédit : Pour les économistes libéraux, les intérêts sont soumis aux mécanismes traditionnels (offre, demande). Mais il existe des phénomènes de rigidité. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture