secteur tertiaire, structures commerciales, Napoléon, spécialisation bancaire, épargne française
• Pendant l'Ancien régime : le réseau routier est assez bon.
• A la Révolution française : hésitations : qui doit payer ? L'Etat ou les départements ? les routes deviennent mauvaises.
• Avec Napoléon, la situation devient bonne.
• Les routes impériales sont bonnes et se développent;
• les routes départementales (financées par l'Etat et les départements) sont bonnes et se développent);
• les voies locales sont divisées en deux catégories : les chemins vicinaux entretenus par les communes avec l'aide de l'Etat et des départements et les chemins ruraux qui sont entretenus facultativement par la commune.
[...] Mais la politique des caisses d'épargne est très prudente. Aussi, elles ne financent pas les entreprises privées et elles financent l'Etat en souscrivant des emprunts publics. Succès : Augmentation du nombre des guichets, hausse du taux versé, baisse du montant maximal Création de la Caisse nationale d'épargne et de prévoyance pour mieux toucher les campagnes car elle utilise les guichets de la Poste pour récolter les fonds. la haute banque Etablissements souvent familiaux (familles juives ou protestantes). Capitaux issus de la famille avec quelques apports de capitaux de personnalités : ces banques sont des organismes pour grandes fortunes. [...]
[...] Les banques traditionnelles ne peuvent pas répondre au problème. C'est pourquoi apparaissent de nouvelles banques. les banques de dépôts Elles prennent l'épargne de la classe moyenne. Ex. Crédit Lyonnais. Principes de fonctionnement : elles ont un capital et des réserves limitées par rapport aux dépôts. Politique d'investissement : Au début, politique risquée : elles font des investissements longs qui ne permettent pas de répondre à des retraits massifs des fonds déposés par les particuliers : crise en 1880. La loi intervient et pose des règles précises pour éviter les risques : Dépôts à vue : pas de plus de deux ans ; Participation aux entreprises industrielles : pas plus de 10% de participation dans le capital de ces entreprises et pas plus de 75% des ressources propres de la banque. [...]
[...] Ils se développent sous le Second empire Le Bon marché la samaritaine le Printemps Les prix sont peu élevés (faible marge de bénéfice mais compensée par le grand nombre de vente, effet de masse). Les clients sont très contents. L'existence de ces grands magasins n'a pas encore de mauvaises conséquences sur le petit commerce traditionnel. Les coopératives de consommation ce sont des magasins où l'on cherche l'intérêt du consommateur avec des prix bas. Ces magasins sont en lien avec les idées socialistes. EVOLUTIONS DU SECTEUR BANCAIRE LES ÉTABLISSEMENTS TRADITIONNELS La banque de France elle crée des guichets en province à compter de 1830. Cela facilite les transactions financières. [...]
[...] les placements mobiliers croissants Les obligations et les emprunts d'Etat sont les premières formes de placement mobilier. Ensuite, à compter de 1890, la croissance industrielle multiplie l'intérêt pour les placements par actions françaises et étrangères. Les épargnants apprécient en effet les placements à l'étranger en pensant qu'ils sont plus rentables. Mais ce n'est pas forcément un bon calcul. Par exemple, l'emprunt émis par la Russie et souscrit par de nombreux français ne sera jamais remboursé car les révolutionnaires de 1917 décidèrent de ne rembourser aucun emprunt émis par le Tsar. [...]
[...] les routes deviennent mauvaises. Avec Napoléon, la situation devient bonne. Les routes impériales sont bonnes et se développent ; les routes départementales (financées par l'Etat et les départements) sont bonnes et se développent) ; les voies locales sont divisées en deux catégories : les chemins vicinaux entretenus par les communes avec l'aide de l'Etat et des départements et les chemins ruraux qui sont entretenus facultativement par la commune. La politique des routes est influencée par les orientations politiques du gouvernement. [...]
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